Jeremy Filosa et Tony Marinaro s’en sont pris à Alexander Radulov (après qu’il les ait ignorés)

Il prétendait aimer d’amour les fans montréalais…

Il disait vouloir rester à Montréal, car la ville était magnifique…

Pourtant, hier soir, il a fait un énorme pied de nez aux partisans du CH.

Il est bien évidemment question d’Alexander Radulov, qui a refusé de s’adresser aux médias locaux après l’entraînement matinal, en route vers l’autocar de l’équipe et après la rencontre. Il s’est même permis d’être arrogant envers ceux-ci, leur disant d’aller parler à Bergevin (dans le vestiaire après le match).

Les médias sont les courroies entre les joueurs et les partisans. Comment peux-tu t’adresser ainsi aux fans que tu dis avoir tant aimés? Aux partisans qui t’ont fait empocher des millions $?

C’est un manque de respect.

Non, le Radu-love n’est plus!

Si Radulov est encore amer quant à ses derniers jours à Montréal (notamment en raison de l’attitude de Marc Bergevin), qu’il le dise à Marc Bergevin…

Qu’il le dise aux médias et aux partisans…

Mais qu’il ne transfère pas sa frustration sur les médias, qui ont toujours été corrects avec le principal intéressé (même que celui qui a mal paru suite au départ de Radulov, c’est Bergevin et non Radu).

Qu’il ne brise pas une soi-disant relation d’amour avec la ville…

C’est pourquoi Brian Wilde a fait part de sa frustration hier soir…

Et c’est pourquoi Jeremy Filosa est allé jusqu’à traiter Radulov de mauvaise personne et de pauvre type. Ou de pur con/nul selon les outils de traduction….

https://twitter.com/JeremyFilosa/status/1057475090789687296

Selon Filo, les fans du Canadien ont bien fait de huer le #47 des Stars hier soir.

Filosa en veut vraiment à Radulov…

Tony Marinaro est allé encore un peu plus loin que son collègue Filosa, affirmant que toutes les belles paroles de Radulov (le mercenaire) sur les fans et la ville de Montréal étaient aussi fake que ses trois absences en raison d’un virus lors de sa saison à Montréal.

Rappelons qu’on avait surpris Radulov dans un bar montréalais à manger un Tartare et à boire une bière durant l’une de ses supposées absences en raison d’un virus en 2016…

Toutes sortes de rumeurs étaient alors sorties. Je vous épargne les détails de celles-ci.

Ça a été Radulov + la ville de Montréal.

Ensuite, Radulov vs Bergevin.

Et nous en sommes maintenant à Radulov vs Bergevin, la ville de Montréal, les fans et les médias.

Radulov devrait prendre deux minutes de son temps pour parler à un homme respectueux comme Serge Savard. Il pourrait en sortir grandi.

Ou il pourrait prendre exemple sur son compatriote russe Andrei Markov. Ce dernier n’a jamais été un grand fan des médias, mais il ne leur a pas tourné le dos le jour où Marc Bergevin n’a pas acquiescé à ses demandes.

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