Joel Armia, qui déteste les médias, a aidé Jesperi Kotkaniemi à gérer ceux de Montréal

Jesperi Kotkaniemi est un nom qui est assez polarisant à Montréal. Après tout, en tant que haut choix au repêchage qui n’a pas rempli les attentes (et qui blâme le CH pour ça), il se met une cible dans le dos.

Et ça, c’est sans parler des comparaisons avec Brady Tkachuk.

Ce qui est fascinant, c’est que ça a dégringolé rapidement. Après une bonne première année pour un gars de 18 ans (ce n’était pas parfait, mais il a quand même bien fait), sa deuxième saison a pris une autre direction.

Le principal intéressé en a d’ailleurs parlé il y a quelques jours avec Elliotte Friedman et Jeff Marek.

À sa deuxième année dans la LNH, il y a eu les blessures et les vilaines performances qui ont fait en sorte que les critiques étaient plus importantes le concernant. Il a fallu qu’il apprenne à composer avec ça.

Et à ce sujet, il dit que Joel Armia, son compatriote et coéquipier de l’époque, lui a parlé de l’importance d’arrêter de lire tout ce qui se dit sur lui. Armia le sait parce qu’il est le premier à ne pas le faire, lui qui déteste les médias. Ce sont les mots de KK.

Joel Armia déteste les médias? Ce n’est pas nouveau… et ça doit être notamment pour ça que Marc Bergevin lui a donné un (trop) long contrat.

Kotkaniemi, qui affirme d’ailleurs que le Canadien lui a demandé de trop prendre de poids à sa deuxième année dans la LNH, semble être très heureux de ne plus être dans cet environnement-là. Ça se sent.

Au cours de l’entretien, il a vanté ses troupes à Raleigh (ce qui est normal), mais il n’a jamais vraiment pris le temps de faire de même avec le Canadien, avec qui il s’est rendu en finale. Est-ce qu’il a encore sur le coeur de ne pas avoir joué les derniers matchs des séries?

Il a eu de bons mots pour Carey Price et Shea Weber, mais c’est quand il s’est fait questionner à ce sujet. Disons qu’il est passé à autre chose, ce qui est correct, dans les faits.

PLUS DE NOUVELLES