Martin St-Louis, depuis son arrivée à Montréal, est en train de transformer cette organisation-là. Le Canadien est reparti de la base avec son nouvel entraîneur il y a quasiment deux ans.
Et même si les victoires ne sont pas au rendez-vous, disons qu’on sent que le club s’en va dans la bonne direction.
Martin St-Louis dirigera un 150e match ce soir face aux Jets.
En 149 matchs, il a une fiche de 58 victoires, 77 défaites et 14 revers en bris d’égalité pour 130 pts et un taux de points par match de .436.
Comment évaluez-vous ses performances derrière le banc des Canadiens?🤔 pic.twitter.com/o5AmthT1bo
— RDS (@RDSca) December 18, 2023
Évidemment, il est clair que même si MSL n’avait pas énormément d’expérience derrière un banc quand il est arrivé en ville, il avait acquis son expérience autrement, question d’être crédible.
Parce que sans crédibilité, il n’aurait pas été loin.
Quand on prend un gars comme Johnathan Kovacevic, qui n’a pas vraiment eu sa chance dans la LNH avant d’arriver à Montréal, on se dit que le fait de jouer pour un gars comme St-Louis doit être spécial.
Et ça, comme l’a écrit Arpon Basu ce matin, le défenseur le confirme.
Canadiens weekly notebook: A young team learns patience, young players manage low minutes, Martin St. Louis’ “rules” of hockey and the reason behind all the super long faceoffs lately. https://t.co/Xruzdyei1U
— Arpon Basu (@ArponBasu) December 18, 2023
Et quand ça se passe, il est difficile de bien se sentir après.
Je ne vais pas mentir, j’ai brisé une règle mercredi. Et Martin n’était pas content. Je peux le comprendre.
C’est différent quand St-Louis se fâche après toi comparé à un autre entraîneur. – Johnathan Kovacevic
Il est clair que le Canadien savait que cela pourrait arriver quand Jeff Gorton et Kent Hughes ont donné les clés du banc à St-Louis, un membre du Temple de la renommée.
Tant mieux si ça garde les gars droits.