Hier après-midi, je coordonnais avec le comité de l’aréna de Saint-Polycarpe l’évènement Kraft Hockeyville dans le cadre duquel Jonathan Drouin allait être présent. En compagnie de Eric Epstein (NHLPA) et Joël McKoy-Marchand (Kraft), l’attaquant du Canadien était sur la scène pour la présentation du chèque de 25 000$ remis à la communauté pour avoir été finaliste du concours.
Suite à cela, Drouin a signé des autographes pour une bonne heure, alors que la file présente au parc de la municipalité était énorme. Il ne s’est pas plaint et a au contraire insisté pour ne pas oublier personne, mentionnant qu’il n’était pas pressé du tout. Le Québécois était très agréable et a été généreux de son temps avec les jeunes.
Jonathan Drouin signe des autographes depuis au moins 45 minutes à Saint-Polycarpe. Super agréable, il a mentionné qu’il n’était pas pressé du tout. #Habs pic.twitter.com/uoDxOzK6jh
— Kevin Vallée (@KevinMVallee) June 24, 2019
RDS avait envoyé un journaliste sur place pour discuter avec Drouin, après cette séance. Olivier Larue s’est donc entretenu avec lui à propos de la récente acquisition du Canadien, Cole Caufield, et du groupe de jeunes attaquants qui est en train d’être formé à Montréal. À propos de Caufield, il a précisé l’avoir regardé lors du tournoi U-18, aux côtés de Hughes, et qu’il s’agissait de l’un des vols du premier tour. Le #92 a affirmé qu’il souhaitait devenir un mentor pour les jeunes, lui qui est déjà dans la LNH depuis quelques années.
«Les jeunes joueurs qui sont repêchés haut, je peux les aider, leur parler de la pression. Je commence à avoir un peu de vécu dans la Ligue nationale. C’est à moi aussi de les aider à se sentir confortables. Ils sont ici pour une raison. On n’a pas à leur montrer comment faire, ils savent jouer au hockey. C’est plus de devenir un exemple à suivre, de leur montrer les bons pas. C’est comme ça qu’ils vont s’améliorer.»
Drouin a terminé sa journée avec deux petites joutes avec 33 jeunes de la région, avant de quitter environ 45 minutes en retard pour un rendez-vous à Montréal. Le représentant de la NHLPA a fait son travail en le lui rappelant, mais Drouin a pris le temps de prendre des photos et de lancer des rondelles pour établir une marque de puissance à battre, pour gagner son chandail autographié et des grillades.
Je profite d’ailleurs de cette tribune pour lancer des remerciements à Drouin pour la journée. Les organisateurs étaient très heureux et les locaux ont été choyés, malgré la pénurie de hot dogs causée par l’achalandage.