Je vous pose une question et je m’attends à ce que la réponse soit relativement facile : comment faire pour ne pas aimer Josh Anderson? Si vous voulez mon avis, c’est pratiquement impossible.
Pour la première fois depuis des lunes, le Canadien de Montréal peut se vanter d’avoir dans ses rangs un joueur qui se décrit comme étant un vrai de vrai « powerforward ». Il est rapide, il frappe, il a de l’énergie et surtout, il est capable de se débrouiller avec une rondelle de hockey. Ses 17 filets inscrits dans une saison écourtée à 56 matchs (il en aura disputé 52) en sont la preuve vivante.
Pourtant, il semble qu’on soit passé proche de ne jamais voir Anderson évoluer à Montréal. Selon ce qu’ont rapporté nos collègues de chez Toutsurlehockey.com, les Flames de Calgary étaient eux aussi dans la course à l’obtention de ses services, et ils étaient possiblement prêts à donner beaucoup.
« Le nom de Sean Monahan aurait été impliqué dans les spéculations entre les deux équipes. Une rumeur qui avait circulé pendant la saison régulière, mais qui semble refaire surface aujourd’hui, » peut-on lire dans l’article ci-dessous :
Rumeurs NHL | Les Flames payaient beaucoup plus cher pour les services de Josh Anderson #TSLH https://t.co/iH0yQ4TpzD
— Toutsurlehockey.com (@Toutsurlehockey) June 26, 2021
Il faut toutefois se demander si ce n’est pas les Blue Jackets qui réclamaient Monahan dans une transaction, et non le contraire. Ce ne sont que des rumeurs, après tout.
Personnellement, je ne peux m’imaginer le Canadien de Montréal sans Anderson présentement. Il apporte un élément tellement différent dans la formation du CH par sa robustesse et sa rapidité qu’il est devenu indispensable aux succès du club.
D’un autre côté, j’ai encore de la misère à croire que les Blue Jackets ont décidé de le laisser partir pour acquérir nul autre que Max Domi. Surtout lorsqu’on apprend que les Flames étaient prêts à donner Sean Monahan en retour…
En fin de compte, les Blue Jackets auront été perdants sur toute la ligne. Littéralement.
Prolongation
– Comment est-ce que le directeur général des Blue Jackets de Columbus, Jarmo Kekäläinen, est encore en poste? À voir les moves qu’il a faits dans les dernières années, c’est à se demander si la concession a vraiment le désir de connaître du succès sur une base régulière.