Josh Anderson possède un lien particulier avec Montréal

Josh Anderson ne peut pas croire qu’il fait maintenant partie d’une équipe du Original Six. Après quelques saisons à Columbus, le power forward de 26 ans débarque à Montréal dans un marché qui cadrera parfaitement avec lui – et avec lequel il possède un lien spécial.

Le nouvel attaquant du Tricolore a raconté une anecdote assez impressionnante sur le Canadien, en entrevue avec les médias.

(Crédit: Traded NHL Portrait)

Bien qu’il ait grandi comme partisan des Maple Leafs de Toronto, son équipe locale n’était pas très performante durant son adolescence. Ainsi, à l’âge de 16 ans, son père lui a offert un cadeau de fête de rêve : le voyage de son choix, n’importe où dans le monde.

Son choix? Un match de séries à Montréal, opposant le Canadien et les Penguins. On parle des fameuses séries Halak. On ne sait toutefois pas de quel match il s’agissait.

Il connaît donc l’expérience des séries à Montréal, l’ambiance du Centre Bell et ce que ça représente de porter l’uniforme bleu-blanc-rouge dans les moments importants.

Considérant qu’il est un gros bonhomme, un gars d’énergie des séries éliminatoires, on peut s’attendre à ce qu’Anderson devienne un favori de la foule en 2021. Il frappe, il marque et il énergise la foule – s’il y en a une.

Outre ça, il a quelques liens mineurs avec la ville. Il a un ami qui étudie dans la métropole et il a déjà joué avec Jonathan Drouin au CMJ, il y a plusieurs années.

Bref, il aime la ville et est heureux de cette transaction. L’organisation transpire le succès… Mais si elle n’a pas gagné depuis 27 ans.

Par contre, à propos de son contrat, sa réponse est assez particulière. Ça sonne comme un gars qui veut un gros contrat. Or, si l’entente est bonne – il sera très heureux d’être un Canadien pendant plusieurs années.

« On verra si le contrat est bon, on devra voir la durée, mais si c’est une prolongation à long terme, je serai très heureux d’être un Canadien de Montréal à long terme. »

Anderson n’a toujours pas pensé au numéro qu’il allait porter à Montréal, d’ailleurs. Il n’a pas contacté Brett Kulak, dit-il.

Le #17 avait couté une Rolex à Ilya Kovalchuk.

Il est encore trop tôt pour avoir parlé avec Claude Julien, mais il compte amener le même style de jeu qu’il préconisait à Columbus.

S’il réussit à redevenir celui qu’il était en 2018-2019, ce sera une excellente nouvelle.

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