Juraj Slafkovsky confirme qu’il fera une publicité en français

Comme on a été averti par l’équipe de RDS, Juraj Slafkovsky était présent sur le plateau de l’Antichambre en ce vendredi soir pour une entrevue très intéressante.

Tout au long de l’entretien, on a vraiment senti la personnalité de Slafkovsky.

Il semblait beaucoup moins gêné que l’an dernier.

Évidemment, plusieurs sujets ont été abordés, mais s’il y a bien une annonce qui a ressorti du lot, c’est l’annonce de Slafkovsky concernant une publicité en français qui s’en vient.

La question initiale était de savoir qui entre Cole Caufield, Nick Suzuki et lui parlait le mieux la langue française.

Le Slovaque a répondu Suzuki et les panélistes ont rappelé que le capitaine du CH a fait une publicité en français avec Chantal Machabée.

C’est alors que Slaf a annoncé que lui aussi aura sa publicité en français, un projet qui s’en vient.

On peut entendre ce moment à la 19ᵉ minute de l’entrevue.

J’aime beaucoup l’idée d’inclure les joueurs qui ne parlent pas le français dans des projets de la sorte.

Ça prouve que les joueurs sont heureux d’être à Montréal.

Je me demande si ce sera une publicité pour Tim Hortons comme le capitaine, ou s’il annoncera un tout nouveau hamburger chez McDonald’s, ou quelque chose de complètement différent.

Toujours dans cette entrevue, P.J. Stock a posé la question suivante : L’an dernier, il y avait beaucoup de bruit entourant l’option de t’envoyer à Laval. Comment l’as-tu vécu?

À cela, le Slovaque a offert une réponse parfaite :

« Je riais de ça, parce que je savais que je n’irais jamais à Laval. J’allais tout faire pour ne pas jouer dans la LAH. Je savais comment jouer au hockey et je savais comment jouer dans la LNH, donc je l’ai fait. » – Juraj Slafkovsky.

Tout au long de l’entretien, on a vu à quel point il déborde de confiance, et c’est bien parfait comme ça.

C’est exactement ce qui lui manquait en début de saison.

Slaf a aussi mentionné qu’on pouvait s’attendre à un autre joueur, bien meilleur dans tous les aspects du jeu.

Il avait déjà dit que sa dernière année en Finlande et ses deux premières années à Montréal, on a vu trois joueurs différents et il a confirmé qu’il se sent plus prêt que jamais.

À combien de points peut-on s’attendre de la part du jeune Slovaque en 2024-25?

Personnellement, je crois qu’il fera 65 points. Et vous?

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