La décision de retirer un joueur de la liste des blessés chez le CH est maintenant dépourvue d’émotions

S’il y a bien un aspect qui est de plus en plus fondamental dans la réussite d’un club de hockey en 2020, c’est le fait que les blessures doivent être gérées convenablement. Rares sont les équipes qui arrivent à gagner malgré une longue liste des blessés.

Ce n’est pas tout le monde qui est les Yankees de New York, qui ont gagné leur division malgré la présence de 39 joueurs sur la liste des blessés en 2019.

À Montréal, l’organisation a décidé de prendre le taureau par les cornes en faisant entrer les données analytiques dans la conversation.

En fait, c’est plus que ça : le Canadien a décidé de donner toute la place aux données afin de s’assurer qu’un joueur ne revienne pas au jeu trop rapidement.

Comment? L’émotion a été retirée de l’équation et ce sont désormais les faits qui sont au centre de la décision.

Cela veut dire que si un joueur jure à son entraîneur qu’il peut jouer et que l’équipe médicale de l’équipe considère que le joueur n’est pas prêt, il n’y a pas de débat : Claude Julien ne va pas construire son alignement avec le joueur blessé en uniforme.

Évidemment, afin de prendre la bonne décision, les techniques d’évaluation de l’état de santé des gars ont été améliorées. Depuis quelques années, le CH compte sur un département des sciences du sport afin de se munir des meilleurs outils pour évaluer les gars. C’est Pierre Allard, l’entraîneur de conditionnement physique, qui est en charge du programme depuis sa création.

Afin d’en connaître plus sur les méthodes du Canadien, je vous invite à lire le texte de Sean Gordon de The Athletic.

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