La femme de Josh Anderson peut accoucher à tout moment

En janvier 2025, on a appris que Josh Anderson et sa conjointe attendaient un enfant. C’est une très belle nouvelle.

Comme cela a été annoncé en janvier, mais qu’on ne savait pas exactement pour quand l’enfant était attendu, on ne portait pas trop attention à cet aspect-là de la vie d’Anderson.

Quand on parlait de lui, c’était surtout pour jaser de ses blessures et du fait qu’il est un guerrier de continuer de jouer.

Mais voilà qu’hier, le principal intéressé a donné une mise à jour de la grossesse de sa femme. Et le #17 du Canadien a dit qu’à ce point-ci, son enfant peut naître à tout moment.

Le «baby watch» est commencé.

Je ne sais pas quels sont les plans de Josh Anderson à cet effet. D’un point de vue personnel, c’est de ses affaires. Mais d’un point de vue hockey, on peut se demander s’il aura à rater des matchs.

Après tout, un père a le droit d’être là pour la naissance de son enfant.

J’ai cependant le sentiment que le vétéran fera tout pour ne pas rater de match. Il se donne à fond depuis des mois pour faire les séries et je ne pense pas qu’il ait envie de rater un duel.

Évidemment, on ne sait pas toujours ce qui peut arriver, mais c’est mon sentiment.

Rappelons que son compagnon de trio, Brendan Gallagher, a récemment perdu sa mère et a vu sa femme accoucher… sans rater un match pour autant. Peut-être que cela va inspirer Anderson, dont le trio qu’il forme avec Gally et Christian Dvorak fonctionne bien, à jouer tous les matchs restants.

On verra en temps et lieu… même si je dis ça en sachant qu’Anderson n’a pas besoin de motivation. C’est surtout lui qui en donne, depuis quelques mois.

Mais si Anderson s’absente, cela pourrait donner du temps de jeu à Oliver Kapanen, Joshua Roy, Arber Xhekaj (si la formule 11-7 est adaptée) ou Michael Pezzetta, qui joue depuis quelques matchs, mais qui pourrait perdre sa place au soleil éventuellement.

À suivre.

en rafale

– Dur coup.

– Il s’améliore sur 200 pieds.

– Affronter le CH en séries serait tout un défi.

– Ça, c’est drôle.

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