La pénalité appelée à Cody Eakin : Michel Bergeron l’a pris personnel

Plusieurs personnes ne parlent que de ça, cette pénalité appelée majeure de cinq minutes imposée à Cody Eakin a fait le tour de la planète. Méritait-il réellement cette pénalité? Que la réponse soit oui ou non, elle restera gravée à jamais dans le cerveau des suiveux du hockey… dont celui de Michel Bergeron qui doit se remémorer quelques souvenirs douloureux (entre autres celui d’Alain Côté).

Lors de son passage chez Les Partants, Bergy a réagi vivement à ce chapitre, lui qui n’a pas dormi de la nuit à cause de ça. Il faut en prendre et en laisser avec Le Tigre, qui donne un solide show, mais qui a fort probablement bien dormi sa nuit.

Je n’ai pas dormi de la nuit. Parce que j’ai pensé à tout ce qui arrivait. C’est incroyable aujourd’hui que Vegas soit éliminée. C’est inconcevable. Je me lève contre ça. Il aurait dû y avoir quelqu’un à Toronto qui appelle les arbitres (et leur dire) : «un instant». On ne parle pas d’un troisième match dans une série, on parle d’une élimination. C’est incroyable. – Bergeron

Bergy a poursuivi sur son envolée en indiquant que cet épisode était une catastrophe et qu’il l’a pris personnel. Pour lui, c’est insensé que son sport se termine de façon aussi imbécile.

C’est évident, au départ, que personne n’a vu l’infraction. Puis, ç’a pris à peu près trois minutes pour se réunir et d’y aller avec une punition majeure. Quand tu décernes une punition majeure et une expulsion, tu dois être sûr à 100 %. Il n’y a pas de ligne grise, il n’y a pas de «peut-être». – Bergeron

Le monsieur a été virulent et dans un certain sens, on peut le comprendre. Toutefois, malgré cette crise et les propos de Jonathan Marchessault (c’est une f*cking joke), les Knights ne reviendront pas pour rejouer cette rencontre ultime contre les Sharks de San Jose. C’est terminé, ils sont en vacances et même s’ils parlent avec des «si» tout l’été, ça ne changera rien.

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