Mon collègue Éric Martel vient d’allumer quelque chose sur Twitter : la rivalité des Suzuki passera-t-elle par la 417?
La rivalité des Suzuki passera-t-elle par la 417? https://t.co/qvWRPAF399
— Éric Martel (@RickMartel15) June 21, 2019
Disons que les chances que ça se réalise sont loin d’être improbables puisque Suzuki est classé pas mal au rang où les Sénateurs se présenteront sur la scène afin d’appeler leur premier choix de cet encan. De plus, ajoutons à l’équation que, selon nos sources, les Sénateurs d’Ottawa ont en haute estime le frère de Nick Suzuki, Ryan.
Un Ontarien aussi talentueux chez les Sénateurs, ça pourrait devenir un coup de circuit inespéré. Ryan Suzuki, originaire de London, demeure un patineur très fluide, plus rapide que son frère aîné, tout en étant un passeur largement au-dessus de la moyenne. Sa vision sur la surface glacée est tout simplement hallucinante, mais le fait qu’il évite les mises en échec me dérange un tantinet.
Même si les Sens sont en amour par dessus la tête avec Suzuki, lorsque Pierre Dorion et son groupe piétineront le stage, ils devront opter pour le meilleur joueur disponible puisque cette formation doit améliorer de façon considérable toutes les positions. Par exemple, si Cam York glisse jusqu’à eux, ils examineront fort probablement à nouveau le dossier.
Au final, Ryan Suzuki ne semble pas dans les plans du Canadien, à moins que je me trompe, donc les deux frères seront encore des adversaires chez les professionnels, que ce soit dans la Ligue américaine ou dans la Ligue nationale. Ryan a tout de même récolté 75 points (25 buts) à sa seconde campagne dans l’uniforme des Colts de Barrie. Le jeune Suzuki a fêté ses 18 ans à la fin mai, donc une telle campagne à 17 ans, c’est très encourageant.