La vraie raison du retrait de Mike Reilly est maintenant connue

Plusieurs personnes se questionnent en ce moment au sujet de Mike Reilly. Pourquoi se retrouve-t-il sur la passerelle (ou les gradins) alors qu’on cherche de la mobilité chez la brigade défensive de l’équipe. Reilly n’a pas enfilé son uniforme, lors d’une joute régulière, depuis le 21 novembre. Sans récolter des statistiques aussi reluisantes que Jeff Petry, Reilly est parvenu à additionner cinq points en 20 rencontres, sans jouer avec un Shea Weber, par exemple.

Pourquoi est-il en punition? 
(Crédit: YouTube (capture d’écran))

À lui seul, son jeu de pieds devrait faire en sorte que David Schlemko ne soit pas le gaucher qui tente de maintenir la cadence avec le capitaine arborant fièrement le numéro 6. Schlemko n’a pas d’étoffe et ce n’est certes pas lui qui rajeunit cette brigade défensive déjà passablement âgée. Reilly siège dans les gradins… et Schlemko fait sortir les partisans de leurs gonds. Toutefois, Mathias Brunet, via sa rubrique du jour, a pointé une facette non connue au sujet de Reilly :

Pendant ce temps, Mike Reilly se retrouve sur la tribune de la presse. On a été peu patient à son endroit. On chuchote que le jeune homme n’est pas très réceptif aux enseignements de ses entraîneurs et on veut le mettre au pas. – Brunet

À partir de là, on a plus besoin de renifler et chercher sans cesse les raisons qui le rendent coupable à ce point. Si Reilly n’est pas le soldat qui va au combat à la gauche de Shea Weber, c’est pour une raison très justifiée : les entraîneurs veulent le casser. C’est légitime. Luke Richardson est peut-être adjoint, mais c’est lui qui a en charge de la défensive et il est un homme rigoureux. S’il livre un message à ses collègues et Claude Julien, ils sont assurément tout ouïe.

Parfois, on porte un jugement sur une situation sans avoir entre les mains ce genre de données importantes pour saisir l’équation. Maintenant, on en sait davantage à ce sujet.

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