Larry Brooks (NY Post) critique largement les Rangers de New York

À Montréal, c’est connu, les partisans sont très intenses et les médias peuvent être durs.

Un jour, tout va bien, et le lendemain, c’est la catastrophe.

On a possiblement quelques exemples en tête, mais je vais vous en montrer un autre qui a un lien avec les pauvres Rangers de New York.

Larry Brooks, du New York Post, couvre les Rangers depuis très longtemps (près de 50 ans dans les médias).

Il a toujours été cru, mais dans sa chronique publiée le 30 décembre dans ce journal, il n’y est vraiment pas allé de mains mortes.

Il a critiqué ouvertement les joueurs des Rangers qui, honnêtement, méritent cette chronique coup de poing, comme l’a appelé Anthony Marcotte.

À Montréal, on n’a probablement jamais vu ça, ou du moins pas récemment.

C’est bien moins pire dans la métropole québécoise.

« Les Rangers ont abandonné leur entraîneur, ils ont abandonné leur organisation, ils ont abandonné sur eux-mêmes, ils ont abandonné entre eux autres, ils ont abandonné leurs partisans qui payent la palette pour remplir le Madison Square Garden et ils ont abandonné sur New York. » – Larry Brooks

Ça avait le mérite d’être clair…

Au moment d’écrire ces lignes, donc avant les rencontres du 31 décembre, les Rangers sont à deux points des Canadiens de Montréal au classement.

Qui l’eut crû?

Les Rangers sont aussi à un seul point de la dernière place dans la conférence Est…

Ça, personne ne l’avait prédit.

Mais les joueurs des Rangers n’ont absolument rien à dire. Ils n’ont qu’à se regarder dans le miroir et travailler sur eux-mêmes, car ce n’est pas toujours la faute du coach.

« Il n’y a aucun échec-avant. La zone neutre est devenue une passoire. Les mêmes erreurs sont commises encore et encore. Il y a eu quelques ajustements. Aucune responsabilité n’a été prise. Cette équipe de dernière place ne présente pas une seule qualité rédemptrice. Les joueurs manquent de confiance. Ils ne compétitionnent pas. » – Larry Brooks

Je vous invite fortement à lire sa chronique, ça en vaut vraiment la peine.

Brooks pointe du doigt tout ce qui ne tourne pas rond.

En rafale

– C’est à s’y méprendre.

– Voici les trios et duos des Blues en vue de la Classique hivernale.

– À suivre.

– James Hagens va être tout un joueur, c’est sûr.

– Elias Pettersson doit être prêt à tout, même un échange.

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