À Montréal, c’est connu, les partisans sont très intenses et les médias peuvent être durs.
Un jour, tout va bien, et le lendemain, c’est la catastrophe.
On a possiblement quelques exemples en tête, mais je vais vous en montrer un autre qui a un lien avec les pauvres Rangers de New York.
Larry Brooks, du New York Post, couvre les Rangers depuis très longtemps (près de 50 ans dans les médias).
Il a toujours été cru, mais dans sa chronique publiée le 30 décembre dans ce journal, il n’y est vraiment pas allé de mains mortes.
Il a critiqué ouvertement les joueurs des Rangers qui, honnêtement, méritent cette chronique coup de poing, comme l’a appelé Anthony Marcotte.
Ayayaye. La prochaine fois qu’on me dira que les médias montréalais sont trop durs avec le CH, je leur sortirai cette chronique coup de poing de Larry Brooks sur les Rangers.😳 https://t.co/mJ88TTrXmV
— Anthony Marcotte (@anthonymarcotte) December 30, 2024
C’est bien moins pire dans la métropole québécoise.
« Les Rangers ont abandonné leur entraîneur, ils ont abandonné leur organisation, ils ont abandonné sur eux-mêmes, ils ont abandonné entre eux autres, ils ont abandonné leurs partisans qui payent la palette pour remplir le Madison Square Garden et ils ont abandonné sur New York. » – Larry Brooks
Ça avait le mérite d’être clair…
Au moment d’écrire ces lignes, donc avant les rencontres du 31 décembre, les Rangers sont à deux points des Canadiens de Montréal au classement.
Qui l’eut crû?
Les Rangers sont aussi à un seul point de la dernière place dans la conférence Est…
Ça, personne ne l’avait prédit.
Mais les joueurs des Rangers n’ont absolument rien à dire. Ils n’ont qu’à se regarder dans le miroir et travailler sur eux-mêmes, car ce n’est pas toujours la faute du coach.
« Il n’y a aucun échec-avant. La zone neutre est devenue une passoire. Les mêmes erreurs sont commises encore et encore. Il y a eu quelques ajustements. Aucune responsabilité n’a été prise. Cette équipe de dernière place ne présente pas une seule qualité rédemptrice. Les joueurs manquent de confiance. Ils ne compétitionnent pas. » – Larry Brooks
Je vous invite fortement à lire sa chronique, ça en vaut vraiment la peine.
Brooks pointe du doigt tout ce qui ne tourne pas rond.