Malgré un certain amour développé pour les Prédateurs de Nashville, un de mes coups de coeur des dernières séries éliminatoires a décidément été l’Avalanche du Colorado. Nathan MacKinnon a mené son équipe vers de belles performances, malgré leur élimination en première ronde, avec un style de jeu extrêmement rapide et dynamique qui a su compétitionner avec une puissance comme les Prédateurs.
C’est à se demander si l’année prochaine, l’Avalanche pourrait se retrouver dans une position favorable, en séries éliminatoires. Jared Bednar sait reconnaître une équipe qui est en voie d’un championnat, ayant remporté les grands honneurs dans la ECHL et la AHL dans le passé, et il croit qu’avec un core encore jeune, le ciel est la limite.
Asked Jared Bednar if the @Avalanche have the type of trajectory of his championship winning teams with Lake Erie and the @SCStingrays – He says the sky is the absolute limit for the #Avs with guys like Nathan MacKinnon & Gabriel Landeskog being so young & driving the bus. pic.twitter.com/pzkpGrhiT3
— Scott Eisberg (@SEisbergWCIV) July 14, 2018
Construire autour de MacKinnon et Landeskog afin de les supporter est présentement la priorité #1. Mais dès l’an prochain, l’Avalanche comptera sur un groupe qui pourrait connaître une histoire de Cendrillon ressemblant à celle des Sénateurs en 2017, dans le sens qu’ils n’auront pas beaucoup de pression, tout en pouvant par contre faire des dommages considérables aux autres équipes.
Leur groupe d’attaquants est relativement jeune et diversifié, alors que Rantanen, Kerfoot et Jost ont encore un potentiel d’impact.
Landeskog – MacKinnon – Rantanen
Kerfoot – Jost – Andrighetto
Kamenev – Compher – Wilson
Nieto – Soderberg – Calvert
Chez les défenseurs, on ne parle pas de la meilleure ligne bleue, mais l’arrivée récente de Samuel Girard a changé bien des choses, l’an dernier.
Zadorov – Barrie
Girard – Johnson
Cole – Nemeth
Varlamov
Grubauer
Si Varlamov n’est pas en santé ou en mesure de performer à la hauteur des attentes, Philipp Grubauer sera en mesure d’assurer la relève. Jonathan Bernier est parti, lui.
Analysons ça vite vite et considérant tout ça, je crois qu’il est évident que l’équipe, comme Bednar le dit, a un énorme potentiel. S’ils continuent sur la voie qu’ils ont emprunté la saison dernière, sky is the limit, comme il le dit.