La date limite des transactions de lundi dernier a vu le Canadien y aller de beaucoup de mouvement de personnel. En plus de Tyler Toffoli et Ben Chiarot dans les semaines précédentes, Kent Hughes et le Tricolore ont envoyé Artturi Lehkonen, Brett Kulak et Andrew Hammond sous d’autres cieux.
En raison de la piètre saison de l’équipe, ce sont des transactions logiques, surtout quand on considère le retour que ces gars-là ont apporté au Tricolore.
Or, même si l’équipe était du côté des vendeurs, le CH aurait quand même considéré la possibilité d’aller obtenir un joueur établi dans le circuit Bettman avant qu’il ne soit 15 heures lundi dernier.
Et qui est donc ce joueur? Si on se fie à Elliotte Friedman, c’est nul autre que Colin White qui était dans le viseur de Hughes et du Canadien.
https://twitter.com/FriedgeHNIC/status/1506779626311491591
Mais qui est donc White et pourquoi le CH l’avait identifié comme cible? La réponse pourrait être fort simple : White était représenté par Hughes avant que ce dernier ne fasse le saut à titre de DG.
Dans les faits, acquérir un gars comme White, qui a 25 ans et qui a un contrat relativement avantageux (4,75 millions $ par année jusqu’en 2024-25), n’est pas une vilaine idée. Après tout, il ne sera pas trop vieux lorsque le prochain noyau sera prêt et il peut être utilisé à bien des sauces dans une formation, lui qui est un centre de middle-six.
Or, la seule chose qui fait en sorte que je suis hésitant face à cette idée, c’est que la description que je viens de donner pour parler de White, elle s’applique presque parfaitement à un gars qui a déjà ce rôle chez le Canadien : Christian Dvorak.
Une transaction du genre pourrait être revisitée cet été, sans doute (et c’est d’ailleurs ce que Friedman semble suggérer dans son texte). Or, est-ce que ça en prendra une autre pour sortir Dvorak de Montréal? Sinon, n’est-ce pas un peu du surplace?
Bref, à suivre, mais le CH a un intérêt pour White. Un nom à surveiller durant la saison morte, donc.