Le 22 avril 2022, Guy Lafleur nous a quittés des suites d’un long combat contre le cancer du poumon. Il était âgé de 70 ans.
Le décès de M. Lafleur a fait les manchettes puisqu’il a notamment marqué l’imaginaire des Québécois sur la patinoire dans les années 70 et 80. Il était, il est et il sera toujours une légende aux yeux de tellement de personnes, et avec raison.
C’est dans cette optique que Le Cirque du Soleil a décidé d’élaborer la création d’un nouveau spectacle en l’honneur du démon blond.
La pièce qui est intitulée « Guy! Guy! Guy! – Hommage à Guy Lafleur » sera présentée du 19 juillet au 19 août à l’Amphithéâtre Cogeco de Trois-Rivières.
Le directeur de la création, Daniel Ross, explique « qu’il ne faut pas s’attendre à une œuvre biographique ou à un spectacle de hockey ».
C’est plutôt afin de « faire revivre la joie, le sentiment de fierté et le plaisir du jeu qu’il nous a procuré », tel qu’a Daniel Ross affirmé au Journal de Montréal :
Avec «GUY! GUY! GUY!», nous souhaitons toucher le cœur des Québécoises et Québécois qui ont chanté, scandé, ovationné d’une seule voix et d’un même élan unificateur, les exploits et les moments forts de ce hockeyeur de génie. – Daniel Ross
«Guy! Guy! Guy! – Hommage à Guy Lafleur»: le Cirque du Soleil célèbre le démon blond (@Guillaume_Pic) https://t.co/1tpR1oDbnX
— Le Journal de Montréal (@JdeMontreal) March 21, 2023
Et, j’ai comme l’impression que l’Amphithéâtre Cogeco de Trois-Rivières sera plein à chaque présentation de ce nouveau spectacle.
Même si M. Ross affirme qu’il ne faut pas s’attendre à un spectacle seulement sur le hockey, plusieurs éléments du sport seront représentés dans ladite pièce. L’histoire sera divisée en trois périodes différentes pour parler de son enfance jusqu’au Canadien, du Canadien jusqu’à la retraite et finalement, de sa retraite finale.
Le scénographe Yves Aucoin estime même que les spectateurs devraient se sentir dans un aréna puisqu’on y verra des bannières, des fanions et même un tableau de pointage.
Bravo à l’organisation du Cirque du Soleil pour l’idée. C’est le moins qu’on puisse dire.