Le contrat d’Alex Newhook assure encore plus de flexibilité au Canadien en 2024-2025

Il y a un an, je me disais que le CH voulait sans doute atteindre le fond du baril à l’été 2023 au niveau du classement. Voilà qui semble être fait et à ce point-ci, attendez-vous à voir l’équipe remonter tranquillement.

Évidemment, une mauvaise saison est encore à prévoir chez le Canadien, mais le club veut monter. Il veut progresser pour arriver dans un an en position de prendre un gros pas vers l’avant.

Il reste donc un an plus difficile, sur papier, avant de tenter de faire les séries.

C’est pour ça qu’il est intéressant de noter que le Canadien de Montréal, via la signature d’Alex Newhook pour quatre saisons, a clarifié son portrait en vue de la suite des choses.

Après tout, même s’il reste Jesse Ylönen à signer (en plus de Nicolas Beaudin et de Lucas Condotta), ça ne changera pas la donne en vue de la suite à long terme pour le Canadien.

Ce sont des dossiers plus mineurs… et Kent Hughes peut partir en vacances un peu.

Ce qu’il faut noter, c’est que dans un an, on sait déjà pas mal à quoi le portrait financier va ressembler puisque les joueurs dont le contrat sera à renouveler ne sont pas de la trempe de Cole Caufield, disons.

Arber Xhekaj et Justin Barron seront les deux RFA notables du club.

Chez les agents libres, Samuel Montembeault demandera une augmentation salariale et peut-être que Sean Monahan restera, mais Chris Wideman, Rem Pitlick et (surtout) Mike Hoffman laisseront de la place.

Grâce au contrat de Newhook, on sait que le Canadien, à ce moment, aura un bon 15 M$ de lousse – et c’est compter le fait que Price prendra le chemin de la LTIR en cours de saison, ajoutant ainsi du lousse.

Avec le plafond qui va monter, le dead money qui va disparaître (Karl Alzner et Joel Edmundson seront sur la masse de 2023-2024) et les gars qui vont partir, cela va faire de la place.

Et là, Kent Hughes pourra s’amuser.

Parce que ce montant-là ne tient pas compte du fait que des rachats pourraient avoir lieu ou que des transactions seront effectuées. Joel Armia et David Savard, par exemple, seront à un an de l’autonomie…

L’été 2024 pourrait être fascinant en ville.

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