Plusieurs entraîneurs sont passés derrière le banc du Canadien de Montréal depuis le départ de Jacques Demers. Dans les dernières années, on a vu Claude Julien, Michel Therrien, Randy Cunneyworth, Jacques Martin, Bob Gainey, Guy Carbonneau, Bob Gainey, Claude Julien, Michel Therrien, Alain Vigneault… et j’arrête ici. Des hommes de qualité pour certains et de moins bonnes pour d’autres (Carbo et Cunneyworth). Si l’on zieute les années 1971 à 1979, on aperçoit un certain Scotty Bowman, qui ne faisait pas l’unanimité comme homme, mais qui est tout de même reconnu comme le meilleur entraîneur-chef de l’histoire depuis 1967, selon le site NHL.com.
Bowman a soulevé pas moins de neuf Coupes Stanley, ce qui demeure tout un exploit pour le paternel de Stan Bowman.
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Le prochain pilote à se présenter au sein de ce top-16 depuis ’67 n’est nul autre que le défunt Pat Burns, au 9e échelon, qui ne tenait pas sa langue dans sa poche. Un franc parlé, mais un entraîneur de très grande qualité qui a eu une carrière très étincelante dans la LNH. On parle ici de trois trophées Jack Adams et une Coupe Stanley. Burns s’est imposé dès sa première année dans le show, avec le Canadien de Montréal en 1988-89, ce qui lui a permis de mettre la main sur son premier Jack Adams.
Personnellement, Jacques Demers aurait dû se retrouver à travers ce top, lui qui a remporté une Coupe Stanley et qui a eu un parcours intéressant comme entraîneur au sein de la Ligue nationale. Lui aussi il a raté les séries à quelques reprises, mais il a su soutirer le meilleur de ses joueurs avec ses grands discours et sa facilité à communiquer.