Le début de saison des Oilers a été couronné par les mauvaises performances de l’équipe. Après six défaites en sept matchs, entre le 5 et le 18 novembre, Peter Chiarelli a décidé de renvoyer Todd McLellan.
Le DG des Oilers n’est pas allé chercher très loin afin de trouver un remplaçant : Ken Hitchcock, qui est natif d’Edmonton, a été embauché afin de remettre la bande à McDavid sur les rails.
Et force est de constater que cela fonctionne plutôt bien.
Depuis l’arrivée de Hitchcock derrière le banc, les Oilers affichent un rendement de 4-1-1. Mais surtout, on sent réellement qu’il a rapidement réussi à faire passer son message.
Les équipes de Ken Hitchcock ne sont pas nécessairement les plus excitantes à voir jouer, mais elles sont réputées pour être extrêmement solides défensivement.
C’est exactement le cas des Oilers.
Durant cette séquence heureuse, quatre des six matchs se sont terminés avec un but d’écart. Les Oilers en sont ressortis gagnant trois fois.
Les unités spéciales font également le travail. Le désavantage numérique a un taux de succès de 84%, tandis que l’avantage numérique a inscrit 4 buts sur 14 occasions, ce qui représente une efficacité de 28%.
Les Oilers ont également trouvé un cerbère. Cam Talbot connait une saison atroce pour le moment, et malheureusement pour lui, c’est Mikko Koskinen qui s’est imposé en tant que gardien partant. Ce dernier est excellent, lui qui affiche une moyenne de buts alloués de 2.15, un pourcentage d’arrêt de .928% et une fiche de 8-2-1.
Bref, l’espoir est de retour à Edmonton. Les Oilers n’ont que deux points de retard sur le Wild, qui possède (pour le moment) le dernier rang afin d’accéder aux séries.