Les Islanders n’échangeront vraisemblablement pas John Tavares

Ça va la gang de DLC?

Trois articles portant sur des rumeurs de transaction consécutifs, un dimanche après-midi? Bien que cela semble saugrenu, il fallait s’y attendre. Les formations qui ne sont pas en position favorable en date de l’action de grâce américaine risquent de manquer les séries d’après-saison. C’est connu!

Les états-majors des 31 équipes du circuit s’assoient donc et prépare tranquillement un plan d’action pour les semaines à venir. Ceux-ci incluent des décisions faciles comme un départ imminent d’un Erik Gudbranson d’une équipe en reconstruction telle que les Canucks ainsi que des décisions plus difficiles impliquant Wayne Simmonds puis Ryan Nugent-Hopkins, actifs pouvant être marchandés dans le buts de colmater certaines brèches!

Rien de sorcier qui pourrait vous rappeler un certain Eklund!

Si certaines équipes décident tranquillement quels morceaux quitteront au grand ménage du printemps, d’autres s’accrochent. C’est le cas des Islanders qui refusent de tourner la page et s’accrochent à l’espoir d’allonger le parcours de leur capitaine, John Tavares, au cœur de la Grosse Pomme.

Pour une fois, on peut comprendre la manière de réfléchir de Garth Snow!

Les Insulaires sont actuellement quatrième au chapitre du différentiel buts pour/contre dans l’association de l’Est… et cette statistique risque de croitre constamment d’ici la date limite des transactions.

Enfin, l’attaque de la formation de Doug Weight repose sur plus d’un homme. L’arrivée de Mathew Barzal à titre de pilote du deuxième trio change complètement la donne. Flanqué du soi-disant paresseux Jordan Eberle puis de l’amaigri Andrew Ladd, le jeune homme de vingt ans a amassé 23 points en autant de parties!

La position actuelle des Islanders au classement général justifierait davantage l’obtention que le sacrifice d’un joueur de la trempe de John Tavares…

Ce qui ne justifierait pas nécessairement de le conserver.

La situation entourant la construction d’un nouvel amphithéâtre inquiète davantage le capitaine que les résultats de l’équipe sur la patinoire. La patience de Tavares a ses limites : en date du premier juillet, il refusera probablement d’allonger son parcours pour une durée de huit campagnes avec une formation qui ne sait pas où elle présentera ses parties dans les années à venir.

Qui s’impatientera en premier : Snow ou Tavares? Les Islanders n’aspireront à rien sans leur capitaine…

Et n’aspirent à rien depuis son arrivée à New York! Les pièces obtenues contre ses services pourraient s’avérer cruciales dans l’optique d’une reconstruction en bonne et due forme!

Garth Snow se brulera-t-il en pariant sur ses troupes?

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