Les Leafs auront besoin d’aller chercher un gros salaire (comme Marian Hossa)

En ce moment (sans tenir compte de la pandémie), ça ne va pas si mal chez les Leafs. L’équipe n’est pas parfaite et a des faiblesses, mais la formation de la Ville-Reine aura tout de même ses chances une fois en séries éliminatoires.

Ceci dit, certains joueurs joueront avec la crainte de mourir. Ce n’est pas une situation facile pour les joueurs.

La raison pour laquelle les Leafs sont confortables, c’est parce qu’ils ont bien géré le plafond salarial. Grâce au brio de Brandon Pridham, qui est en quelque sorte considéré comme un génie des chiffres et du plafond, la troupe de Kyle Dubas a réussi à se tenir encore plus proche du plafond que les autres équipes.

Comment? En profitant des blessés à long terme.

Avec Nathan Horton (5.3 millions de dollars) et David Clarkson (5.25 millions de dollars) sur le payroll, les Leafs sont en mesure de les placer sur la liste des blessés à long terme et, ainsi, d’augmenter leur masse salariale de manière proportionnelle à la valeur des contrats.

Ainsi, en le combinant à l’acquisition d’une partie du contrat de Robin Lehner quand il a été envoyé à Vegas, les Leafs ont été en mesure de s’acheter de l’espace sous le plafond.

Cependant, les contrats de Horton et de Clarkson viendront à échéance cet été. Puisque les Leafs comptaient sur une hausse salariale et qu’ils ne l’auront pas en raison de la pandémie, ils devront peut-être la créer.

Comment? En allant chercher un autre Clarkson ou un autre Horton.

Est-ce qu’un Marian Hossa pourrait être l’heureux élu, lui qui a pris sa retraite en raison de problèmes de peau? Sinon, des gars comme Ryan Kesler, Henrik Zetterberg, Marian Gaborik ou même Brent Seabrook pourraient débarquer sur le payroll.

Notez que le Canadien pourrait le faire, mais pour aller chercher des atouts afin de libérer quelqu’un d’un contrat. De l’espace sous le plafond, Marc Bergevin n’en manque pas.

Bref, voyons voir ce que les Leafs feront.

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