Les Oilers sont en contact avec Mike Smith

On a eu droit à de l’action sur le marché des gardiens #2, aujourd’hui. Ce matin, Brian Elliott a paraphé une nouvelle entente avec les Flyers de Philadelphie, éliminant ainsi une cible de premier choix pour le Canadien et d’autres formations qui seront à la recherche d’un réserviste. Un an et deux millions de dollars, ce n’est pas exagéré et le Tricolore aurait probablement pu se le permettre.

À noter que nous avons parlé hier de la possibilité d’amener Curtis McElhinney avec l’équipe, lui qui a eu du succès avec les Hurricanes cette saison. C’est un vétéran, mais il a tout de même remporté 20 de ses 33 rencontres de saison régulière. 

Puis, ce soir, nous avons appris que les Oilers étaient en contact avec le gardien ennemi Mike Smith, qui a disputé les deux dernières saisons avec Calgary. David Rittich a volé son poste (même si ce n’est pas lui qui a obtenu les départs en séries) et le vétéran est désormais disponible. Frank Seravalli a également confirmé que Petr Mrazek était une option pour Ken Holland et sa nouvelle équipe, tout en ajoutant que si ça se concrétisait, Mike Smith deviendrait une priorité en Caroline.

Mikko Koskinen a reçu une entente de Peter Chiarelli, vers la fin de son règne, même s’il n’avait pas encore prouvé sa constance. Voilà ce que ça donne : une autre drôle de situation entre les deux poteaux, à Edmonton.

Les statistiques avancées veulent que Smith soit une bonne option, pour un club qui est prêt à prendre une chance et à se croiser les doigts pour un rebondissement. Dans les faits, l’ancien des Coyotes n’a jamais joué dans des conditions parfaites et ses statistiques sont souvent altérées. À 37 ans, par contre, c’est peut-être la fin. 

Néanmoins, un triangle amoureux semble se dessiner dans le dossier des gardiens de but, comme ç’a souvent été le cas lors des dernières années.

Pour l’instant, nous ne savons pas où Marc Bergevin se positionne dans tout ça. À Montréal, nous n’avons que des analyses qui proposent certains candidats, sans toutefois être au courant de l’intérêt de l’état-major. Le DG du CH est silencieux et très souvent, c’est parce qu’il travaille en coulisses.

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