Marc Bergevin a fort probablement sauvé son emploi, en 2018. Alors que le Canadien était victime d’une vague d’insuccès lors de la dernière saison, la pression est montée jusqu’aux oreilles du directeur général, qui a tout de même conservé son emploi avant de connaître l’été le plus fructueux de sa carrière.
Au final, il aura provoqué l’un des 5 plus gros revirements de situation de l’année.
Sean McIndoe a dressé un palmarès des équipes qui ont réussi les plus beaux «turnaround», en 2018, et le Canadien figure sur cette liste.
New post: A lot can change in a year. Five teams that proved that in 2018, and five more that could follow suit in 2019. https://t.co/oLkzTDwOhu pic.twitter.com/ALBQumAIY2
— Down Goes Brown (@DownGoesBrown) January 2, 2019
Comment a-t-on fait? Trois clés.
- L’acquisition de Max Domi
- La sélection de Jesperi Kotkaniemi
- L’échange de Max Pacioretty
Dans la chronique, chaque rebondissement est associé à une équipe qui est actuellement dans une position difficile. McIndoe juge donc que les Oilers pourraient potentiellement rebondir d’une façon similaire au Canadien lors de la prochaine année.
Le prochain DG de l’équipe (puisque je doute que Peter Chiarelli y soit encore au mois de mai) aura des décisions importantes à prendre. Le Canadien en 2018 et les Oilers en 2019, c’est assez similaire à l’exception que le Tricolore ne compte pas dans ses rangs le meilleur joueur de la LNH.
Les autres revirements de situation les plus marquants de la dernière année ont été effectués par les Sabres, les Penguins, les Flames et l’Avalanche.
Il est jugé que les Coyotes, les Hurricanes, les Canucks et (encore) les Penguins ont les meilleures chances de rebondir cette année.