Marc Bergevin avait vidé son bureau plusieurs semaines avant d’être congédié

Le nom de Marc Bergevin est sur toutes les lèvres suite à sa sortie publique, via un texte de Pierre LeBrun.

Évidemment, des histoires du passé remontent à la surface en même temps. Martin Leclerc, par exemple, a jasé de la façon dont l’ancien DG menaçait les francophones du CH.

Bergevin, qui a vu la sélection de Logan Mailloux jouer contre lui, se devait de jaser publiquement, mais en même temps, présentement, il est un peu victime de sa stratégie. Parce que oui, parler publiquement est une stratégie pour ramener son nom dans les conversations.

Qu’est-ce que je veux dire?

Autant chez nous hier que Renaud Lavoie (à la radio ce matin) et que Martin Leclerc dans un texte sur le site de Radio-Canada, un point a été soulevé : dit-il vraiment la vérité, juste la vérité et rien que la vérité?

La question se pose.

D’ailleurs, Martin Leclerc rappelle que Bergevin avait refusé une offre de contrat de Geoff Molson parce qu’il ne la trouvait pas assez grosse. Il ne sentait pas qu’il avait, pour reprendre les mots du journaliste, reçu un vote de confiance de son patron.

Il savait donc qu’il vivait sur du temps emprunté.

On se rappellera que Scott Mellanby, son adjoint, avait été considéré pour prendre en charge les opérations hockey du Canadien. Bergevin l’a appris avant de perdre son emploi.

Il avait aussi appris que Jeff Gorton avait été embauché avant d’avoir la confirmation qu’il avait perdu son emploi.

Ces deux éléments-là, on les connaissait. Mais Martin Leclerc nous apprend que Bergevin, plusieurs semaines avant d’être congédié, avait même déjà vidé son bureau de ses effets personnels.

Il sentait que c’était la fin – même si de perdre son emploi a quand même été un choc pour lui.

Rappelons que vers la fin de son mandat, comme il l’a dit à Pierre LeBrun, la pandémie était en train de venir à bout de lui. Il était incapable de voir sa famille et il ne voyait plus la lumière au bout du tunnel. Il était visiblement temps de passer à autre chose.

En rafale

– Qu’en dites-vous?

– En parlant de hockey féminin.

– Evgeny Kuznetsov parle de Sidney Crosby. [RG]

– Qu’en dites-vous?

La chronique de l’ancien entraîneur, Michel Therrien ⬇️

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— TVA Sports (@tvasports.ca) 29 novembre 2024 à 09:13

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