Yvon Pedneault participe toujours à l’émission de Jean-Charles Lajoie, sur les ondes du 91.9 Sports. L’homme de peu d’amis, ce n’est pas moi qui l’invente, mais Bertrand Raymond qui le dit, ne voit pas Michael McCarron enfiler l’uniforme du Rocket de Laval. Pourquoi donc, Yvon?
"Si McCarron porte un autre uniforme que celui du CH cette année ce sera dans la LNH, il n'ira pas à Laval" -Y Pedneault #JiCenliberté
— BPM Sports (@BPMSportsRadio) September 27, 2017
Je ne demeure pas dans le secret des Dieux, mais je ne crois pas que quelqu’un ait soufflé aux oreilles de Pedneault que Big Mac passerait dans une transaction « X » afin de se diriger vers une autre franchise et évoluer dans la Ligue nationale. À prime à bord, pourquoi soudainement, deviendrait-il un joueur de la LNH alors qu’il n’est pas en mesure de prouver qu’il a cette étoffe?
Ai-je envie de citer que ça sent la fin pour le gros numéro 34? C’est ardu de s’avancer jusque-là puisque l’état-major, en plus du coach, semble raffoler de cette pièce d’homme. L’organisation du Canadien, je parle ici du pilote de l’équipe, l’installe dans une position afin qu’il rayonne. McCarron ne cartonne pas. Toutefois, Julien l’aime son McCarron. Le grand gaillard est moulé dans le moule « Julien ».
Cette niche au poste de deuxième centre hier – accompagné entre autres d’Alex Galchenyuk… était-ce une tactique pour brasser l’un ou l’autre? Ou pour installer le mannequin dans la vitrine afin qu’une organisation lève la main? Si l’on se fie à Pedneault, on peut croire que McCarron sera transigé d’ici le lancement de la campagne régulière. Pour ma part, je vais me garder une petite gêne.