Martin Lemay soulève l’hypothèse de voir le Canadien être à vendre

Hier, dans une chronique de Réjean Tremblay sur les ondes du 91.9 Sports, le journaliste a jasé de la possibilité de ne pas voir Marc Bergevin demeurer encore longtemps dans son poste. Après tout, si Geoff Molson n’arrive pas à se décider entre le prolonger ou le congédier, il pourrait forcer le DG à simplement décider de partir.

Mais si on veut pousser la réflexion encore plus loin, on peut se demander pourquoi Molson ne veut pas accorder à son DG le vote de confiance qu’il désire obtenir.

Plusieurs théories sont sur la table. Le principal intéressé demande trop, il ne sait pas encore s’il veut rester (même s’il affirme le contraire), Molson voulait le laisser aller avant que son club ne se rendre en finale de la Coupe, etc.

Mais Martin Lemay en a amené une nouvelle à la table.

L’animateur de l’émission du retour s’est questionné à savoir si le Canadien n’était pas à vendre. Molson ne serait pas obligé de le dire, ce qui explique son absence devant les médias.

Et cela aurait potentiellement un lien avec Bergevin. Et si un éventuel nouveau proprio ne voulait pas l’avoir, mais bien amener son homme?

Selon lui, avec Weber hors de la masse, cela aide à soulager les engagements financiers du CH lors des prochaines années. Ne pas s’encombrer d’un gros contrat pour le DG serait dans l’ordre des choses pour laisser de la flexibilité financière à un prochain proprio.

Lemay n’a jamais affirmé avoir des infos à ce sujet. Tel que mentionné dans le titre, il a soulevé l’hypothèse parce que plusieurs données correspondent.

J’ai mes doutes. Après tout, le fait d’avoir de la flexibilité dans les opérations hockey ou de ne pas parler à la presse peut vouloir dire plusieurs choses. C’est l’équivalent de chercher ses symptômes sur internet quand on est malade et de s’imaginer le pire : ça ne veut rien dire. 

Je ne dis pas qu’il a tort, mais j’aurai besoin de plus pour y songer, disons.

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