Lorsqu’un lien entre le hockey et le baseball se rencontre, ça m’atteint particulièrement puisque ce sont les deux sports que je chéris le plus dans la vie.
Cette fois-ci, Martin St-Louis et Felipe Alou se retrouvent à l’intérieur d’un texte composé de la plume de Félix Séguin, où la voix du Canadien via TVA Sports compare les deux hommes: Martin St-Louis comme Felipe Alou.
«Comme Alou, St-Louis est devenu le visage de l’organisation» 🏒🔵⚪️🔴 https://t.co/TgAiULf6J1
— TVA Sports (@TVASports) November 28, 2022
Cet énoncé ne veut pas dire que St-Louis possède l’étoffe de monsieur Alou, puisqu’il a encore de la route à parcourir «avant d’espérer obtenir une deuxième carrière comme celle d’Alou», tel qu’indiqué par Séguin. Par contre, comme Alou à la belle époque des Expos, St-Louis est l’image de son équipe.
St-Louis est une légende, un membre du Temple de la renommée et un homme qui a décroché des mâchoires dans le vestiaire du Canadien de Montréal dès son premier discours. Son leadership est grandiose et il se situe à un niveau pratiquement inégalable.
Sans omettre son aura, sa prestance, son don pour communiquer, sa façon d’enseigner et sa façon de décortiquer la game. Tous ces ingrédients font de lui un homme et un entraîneur-chef unique.
On constate que malgré son inexpérience comme pilote en chef, la progression des jeunes joueurs est fulgurante. Nick Suzuki, Cole Caufield et même Samuel Montembeault en sont la preuve vivante. Les trois jeunes ont atteint un autre palier depuis l’embauche de l’ancien numéro 26.
C’est simple. St-Louis est aussi populaire, voire plus populaire que Suzuki ou Caufield. Les amateurs, tout comme les joueurs, l’organisation et les journalistes, l’ont carrément adopté.
En plus de toutes ces qualités, il est divertissant lors des entrevues, ce qui fait du bien au moral des amateurs. St-Louis, c’est le real deal!