Mathew Barzal «passerait à travers un mur» pour Patrick Roy

Patrick Roy est en poste avec les Islanders depuis deux semaines. Et disons que la première a été plus… chaotique.

À sa première semaine, l’entraîneur a été lancé dans la mêlée alors qu’une grosse semaine de quatre matchs attendait son club. Et là-dessus, il y avait un certain voyage à Montréal qui n’a pas fait jaser du tout. Vous n’en avez peut-être pas entendu parler…

Ajoutons à cela l’histoire de l’embauche de Benoît Desrosiers, son adjoint du temps des Remparts, qui a fait couler beaucoup d’encre. Ça vient à peine de se régler, tout ça.

Bref. Tout ça pour dire que son retour dans la LNH a fait pas mal jaser. Après plus de sept dans d’exil, revoilà le Roy dans la meilleure ligue au monde avec le défi d’amener les Islanders en séries.

Est-ce que ce sera simple? Non.

Mais au moins, l’avantage, c’est que Roy a sans doute eu la chance de s’installer comme il faut à New York durant la semaine de congé des siens. Il a eu un peu de temps de prendre ses aises à New York, autant comme humain qui doit vivre quelque part que comme professionnel qui a une job à préparer.

On peut donc penser qu’il a fait ce qu’il avait à faire durant sa semaine et qu’il est maintenant prêt à passer à l’attaque.

Même avant la pause, on sentait que les Islanders allaient mieux. Le club n’a eu que trois points sur huit, certes, mais le club a progressé et les joueurs prenaient leurs aises sous leur nouveau pilote.

Et à ce sujet, John Flanigan (SNY) a rapporté que Mathew Barzal aime bien jouer pour Patrick Roy. À quel point? Au point où Barzal «passerait à travers un mur» pour Patrick Roy.

Barzal comprend l’importance de jouer pour Roy, un gars du Temple de la renommée. Il dit que l’entraîneur a motivé ses troupes et que le groupe joue mieux depuis quelques matchs.

Il sent même qu’il a joué, la semaine dernière, le meilleur hockey de sa carrière sous Roy. Il est clair que de passer de moins de 20 minutes de temps de jeu en moyenne cette année à plus de 23 sous Roy, ça doit aider.

Barzal sent que le groupe a progressé depuis le changement d’entraîneur et c’est tant mieux s’il sent ça. Après tout, Bo Horvat, Noah Dobson et lui, pour ne nommer que trois gars, auront besoin d’acheter le plan du Québécois pour avoir du succès.

Toute l’équipe devra acheter son plan, mais vous comprenez ce que je veux dire.

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