Max Lapierre a «pogné» la panique à cause de Martin Brodeur

Je dois dire que j’aime bien le concept et la «sauce» de La poche bleue, pilotée par Guillaume Latendresse et Maxim Lapierre. Pas de fla-fla, juste de l’authenticité, ce qui rend ce show très savoureux. Cela dit, lors de l’épisode numéro 2, Martin Brodeur était l’un des invités du duo et j’ai retenu deux anecdotes à son sujet.

https://www.youtube.com/watch?v=ug4N_a7AbI8

Tout d’abord, lorsque Brodeur est débarqué à Saint-Louis, il habitait dans le même building que Max Lapierre, et il a texté celui-ci afin qu’il le véhicule vers l’aréna. Mine de rien, la petite peste était gênée et stressée de cette demande, mais il ne pouvait pas décliner l’offre de l’un des meilleurs cerbères de l’histoire. Bref, la panique lui a pogné… il est descendu dans le stationnement afin de laver son auto puisqu’il était très nerveux. Il s’est même questionné au sujet des goûts musicaux d’un gars de cette génération pour pouvoir construire une playlist qui convenait.

D’ailleurs, le booker pour le show était un grand stress pour Lapierre, un gars vulnérable, malgré son style fendant sur la patinoire, comme l’a indiqué Guillaume Latendresse.

Pendant son passage au podcast de Tender et Lappy, Brodeur a indiqué que les Devils avaient beaucoup de boulot concernant les agents libres et qu’ils étaient en train de remettre l’organisation de la bonne «manière». L’organisation veut absolument changer de direction, ça ne fonctionne pas depuis cinq ans, c’est simple. Les Devils veulent un changement de philosophie et avec le bagage que Brodeur a cumulé chez les Blues, il apporte cela chez les Devils. Souhaitons que cette transformation future fonctionne pour cette franchise devenue peu reluisante depuis cinq ans.

Bon, voici maintenant la deuxième petite anecdote : Brodeur a déjà quitté le hockey après avoir été retranché du Bantam AA, lui qui a toujours joué à ce niveau au préalable. Pour la première fois, il a dû se contenter du niveau BB, ce qui l’a incité à quitter le hockey pour quelque temps afin de faire du ski (comme sa famille). Il n’était parti que depuis une semaine ou deux et un moment donné, son grand-père l’a ramené par l’oreille avec son équipe BB, lui indiquant que ce n’est pas à cause d’un coach qu’il doit tout abandonner. Si ce n’était de ce monsieur, Brodeur n’aurait probablement pas joué au niveau de la Ligue nationale.

On en veut encore de ce type d’anecdotes au sujet de nos favoris, n’est-ce pas?

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