Michael McCarron désire frapper tout ce qui bouge et causer du dommage… il est aussi très nerveux | En rafale

Plusieurs spécialistes (Pierre Houde, entre autres) commencent à douter sérieusement de Michael McCarron. On doute de lui parce qu’il n’apporte aucun soutien offensif et parce qu’il est moins intimidant qu’on voudrait qu’il soit. Big Mac n’a marqué qu’un but (5 points) en 22 matchs, il a cumulé 30 minutes de pénalité… mais il collectionne les mises en échec puisqu’il en distribue en moyenne 2.5 par match (52).

Je vous rappelle que c’est Claude Julien qui souhaitait le revoir dans son groupe lorsqu’il a pris les guides de la Flanelle. Lorsque Julien est débarqué à Montréal, McCarron était chez les IceCaps (il avait été cédé au préalable pendant le bye-week). Depuis son retour au sein de l’équipe, il n’a toujours rien cassé. Attendait-il du support pour se décider à frapper tout ce qui bouge?

Ça, c’est une déclaration d’un joueur qui est motivé d’évoluer avec un ailier de la puissance de King, lui qui a 96 placages à sa fiche en 63 matchs (1.5 par match). Je demeure persuadé que les deux gros gaillards se crinqueront l’un et l’autre.

Mais c’est aussi un gars qui est un brin stressé de perdre sa place au sein de l’alignement ou qui a été très nerveux hier, par crainte d’être échangé dû à l’arrivée de tous ces matamores.

Le 34 a donc de la pression puisque des pions comme Brian Flynn, Steve Ott et Andreas Martinsen sont faciles à insérer ou réinsérer dans la formation. C’est simple, tout le quatrième trio joue avec cette pression (sauf King).

En rafale
– Jarome Iginla arborera le numéro 88 avec les Kings… et disons qu’il semblait très heureux de renouer avec son ancien coach.

– Voici le logo version country de P.K. Subban!

– Je trouve ça cool que David Desharnais ait guidé l’échauffement dès son premier contact avec ses nouveaux coéquipiers.

– La maman de Brendan Gallagher n’était pas fière de son fiston (lors de son arrestation alors qu’il parlait via le TSN690).

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