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Mike Sullivan : les Bruins et les Rangers ne veulent absolument pas l’échapper

Ahh, la valse des entraîneurs dans la LNH…

Maintenant que l’entraîneur Mike Sullivan est officiellement parti de Pittsburgh, on s’entend tous pour dire qu’il devient un entraîneur très convoité à travers le circuit Bettman.

Je me demande même si des dirigeants ne songeront pas à remplacer leur entraîneur déjà en place si Sullivan est ouvert à l’idée.

Mais clairement, depuis hier, il y a deux équipes qui font jaser plus que les autres. Et on parle ici de deux équipes originales pour lesquelles Sullivan a déjà travaillé : les Rangers et les Bruins.

Les deux fois, il a travaillé dans la même organisation que Jeff Gorton… mais je dis ça juste à titre informatif puisque le Canadien de Montréal ne se cherche absolument pas un entraîneur anglophone en ce moment.

Tout ça pour dire que je ne suis pas étonné de voir les Rangers dans le coup. Après tout, le club a besoin d’un pilote d’expérience pour remonter la barque et il a le profil pour le faire.

On ne sait pas s’il veut le faire… mais si oui, la job est sûrement à lui.

Mais si les Rangers, qui vont mettre beaucoup d’argent sur la table pour le convaincre de signer à New York, le veulent vraiment, ils devront surpasser les Bruins dans le dossier.

Et en ce moment, les Bruins sont vraiment intéressés à le signer.

Parce que Sullivan vient du Massachusetts, qu’il a joué à Boston dans la NCAA, qu’il a joué pour les Bruins et qu’il a coaché la formation il y a une vingtaine d’années, le club doit être haut dans son esprit.

Et ce, malgré les difficultés sur la glace.

Je ne sais pas comment il voit le club sur la glace en tant que tel, mais la direction le voit dans sa soupe. S’il veut diriger les Bruins et devenir le pilote le mieux payé de la LNH, il peut le faire chez lui, à Boston.

Jimmy Murphy (RG média) est d’avis que s’il ne veut pas trop attendre, il peut jaser aux Bruins quand il veut. Et on s’attend possiblement à ce que cela se fasse… donc à suivre.

en rafale

– À noter.

– Rick Tocchet : ne sous-estimez pas les Flyers. [JdeM]

– En effet.

– De la stabilité à Trois-Rivières.

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