Une histoire invraisemblable digne d’un scénario dessiné pour Hollywood : l’ex-conjointe du défenseur des Sénateurs d’Ottawa, Nikita Zaitsev, a accusé celui-ci d’avoir capturé ses enfants.
— TVA Sports (@TVASports) December 6, 2019
Margo Zaitseva, l’ex-copine du défenseur, a réussi à capter les responsables de l’enlèvement en question via une vidéo. Évidemment, elle a publié la vidéo en question sur Instagram afin d’alerter la population que des ravisseurs avaient enlevé ses enfants. Selon elle, l’un d’eux est clairement son ancien conjoint…
En plein jour… et personne ne s’est interpellé pour venir en aide à la jeune dame. Quand même incroyable.
«J’ai été agrippé par un étranger, les bébés ont été arrachés de nos mains, les nounous et moi n’avions pas d’autre choix que de les laisser faire, afin qu’ils ne soient pas blessés» – Margo Zaitseva
Ce scénario se serait produit il y a une dizaine de jours déjà et les raisons de l’enlèvement seraient directement liées à la pension alimentaire que ne souhaitait pas/plus verser le défenseur russe. Zaitseva ne veut pas que son ancienne belle-famille implique les bébés dans cette «chicane», qui vient de prendre une tout autre tournure.
MISE À JOUR – Les enfants seraient dans la maison des parents de Zaitsev selon ce dernier. La mère (ex-épouse de Zaitsev) le sait et le joueur demande la discrétion des gens sur cet événement privé.
Statement regarding Nikita Zaitsev. pic.twitter.com/moxCQcDbVL
— Dan Milstein (@HockeyAgent1) December 6, 2019
Au sujet du joueur, souvenez-vous qu’il a quitté l’environnement des Sénateurs d’Ottawa, pour des raisons personnelles, entre le 21 et 24 novembre dernier. Disons que les dates sont en lien direct avec le jour de l’enlèvement. Ça fit.
Bref, l’organisation des Sénateurs d’Ottawa devra se mettre la face dans ce dossier puisqu’on parle d’un des leurs qui a enlevé ses propres enfants, avec une vidéo à l’appui… si c’est bien Zaitsev, évidemment. Depuis qu’il est revenu de son congé «personnel», le brigadier de 28 ans a joué six rencontres comme si tout était «normal».