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Nombreuses blessures : le Canadien manquait de place sur la galerie de presse

Comme vous le savez, le Canadien de Montréal a de nombreux blessés. C’est historique à quel point, depuis deux ans, tout le monde semble se blesser chez la Flanelle.

Faisons l’état des blessés.

En ce moment, on sait que Carey Price et Paul Byron, qui n’ont pas joué de l’année, ne joueront pas. On sait aussi que Christian Dvorak, Kaiden Guhle, Cole Caufield et Arber Xhekaj ne reviendront pas cette saison.

Sean Monanan et Juraj Slafkovsky, selon ce qu’on voit, pourraient manquer de temps pour revenir au jeu. Et selon ce qu’on a vu de Josh Anderson hier, il pourrait entrer dans cette catégorie-là.

Jake Evans et et Jordan Harris, quant à eux, ont patiné hier avec le groupe, mais ils avaient un chandail leur interdisant de recevoir des contacts. On peut penser qu’un retour approche.

Jesse Ylönen est malade… et Joel Armia? Qui sait quand on aura des nouvelles.

Tout ça pour dire que oui, la liste des blessés chez le Canadien est énorme. Ça fait en sorte que chaque soir, il y a une galerie de presse qui comprend de nombreux gars.

Et Brendan Gallagher, hier, nous en a appris une bonne.

Selon le #11, qui est malheureusement devenu un habitué de la galerie de presse, tous les joueurs blessés (et laissés de côté) ne pouvaient pas systématiquement assister ensemble au match de la galerie de presse dans les dernières semaines.

Pourquoi? Parce que les sièges étaient tous remplis. Ouch.

Il fallait donc que certains joueurs soient dans le vestiaire du Canadien pour voir le match. J’imagine qu’en construisant la galerie de presse du CH, personne n’avait prévu un tel état des blessés.

Et le pire, c’est que tous les joueurs ne sont pas toujours présents aux matchs au Centre Bell. On voit rarement Carey Price et on sait que Paul Byron assiste souvent aux matchs avec les dirigeants du club.

C’est triste, mais c’est la vérité. – Brendan Gallagher

Évidemment, ça doit être assez difficile d’être sur la liste des blessés. Mais un des avantages, c’est que ça permet aux éclopés de passer du temps avec le bon Cole Caufield.

Comme le dit Brendan Gallagher, «Caufield n’a jamais de mauvaise journée».

On sait que le défi d’être blessé est de guérir physiquement, mais aussi de garder le moral. Pour Caufield, qui n’est pas exactement un habitué d’être laissé de côté, ce n’est pas un problème.

C’est beau à voir.

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