Frank Seravalli mentionne d’entrée de jeu, dans son papier du jour, que les Penguins de Pittsburgh se sentent un peu comme dans The Last Dance. À Pittsburgh, comme chez les Bulls de Chicago en 1998, on sent que c’est la dernière chance de gagner avec le noyau en place.
Pourquoi? Parce que le noyau, à commencer par Kris Letang, pourrait exploser.
Ice Breakers 🧊🏒 Checked in on #pens and their UFAs ahead of the trade deadline. It doesn’t impact their trade deadline plans, but PIT and Kris Letang appear to be far apart on term in talks.
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— Frank Seravalli (@frank_seravalli) March 10, 2022
Si Sidney Crosby est là pour rester, on sait qu’Evgeni Malkin et que Kris Letang sont des agents libres à venir. L’attaquant semble vouloir rester en ville, mais c’est plus compliqué pour le Québécois.
Ce dernier veut rester, mais pas à tout prix.
Et là, selon Seravalli, il aimerait avoir au moins 35 M$ sur cinq ans. Évidemment, les Penguins ne feront pas cela. S’il n’abaisse pas ses demandes, il sera agent libre cet été.
Sur un contrat de quatre ans, je pouvais comprendre un tel contrat. Mais sur cinq ans? Je trouve cela beaucoup pour un gars de 35 ans, et ce, même s’il est tout simplement dominant encore à son âge.
Le Canadien devra s’y intéresser, mais avec modération.
Est-ce que Kent Hughes, son ancien agent, arrivera à l'attirer dans une ville où il semble vouloir jouer? → https://t.co/EdPq9iI5A6
— DansLesCoulisses (@DLCoulisses) January 27, 2022
Après tout, même si le DG du CH veut des agents libres, un tel prix est vraiment élevé sur cinq ans… surtout que le CH ne veut pas reconstruire pendant cinq ans. Letang devrait donc être sur le payroll quand il sera vieillissant, mais surtout, quand le CH sera de retour vers le chemin de la victoire.
À Pittsburgh, il va finir l’année… et on verra par la suite.