Olaf Eller n’a pas appris à Lars comment jouer au hockey

Lorsque le fils d’un joueur de hockey, qu’il ait évolué dans la Ligue nationale ou en Europe, perce dans la LNH, on attribue généralement une partie de son succès à l’apprentissage qu’il a reçu d’un père expérimenté.

En général, n’importe quel enfant apprend à jouer grâce à son père/oncle/frère. 

Par contre, ce n’est pas le cas pour Lars Eller. L’ancien du Canadien a discuté de sa relation avec son père, Olaf, qui a connu une carrière professionnelle de 18 saisons au Danemark, représentant le pays à huit reprises au niveau international.

Même si l’on pourrait croire qu’il lui a tout appris, Eller confie que son père ne lui a jamais montré comment patiner, lancer au filet, manier la rondelle ainsi que les techniques sur la patinoire.

C’est plutôt l’esprit compétitif qu’il a infusé en lui.

La rage de vaincre qui a été l’un des facteurs les plus importants de sa saison record, il la tient de son père.

« Il m’a aidé à développer mon esprit compétitif. Le seul aspect de mon jeu sur lequel il émettait une opinion était mon niveau d’ardeur au travail. »

Travailler plus fort était le mot d’ordre. Pour le reste, Olaf ne s’en mêlait pas.

Une technique intéressante qui aura porté ses fruits, au final.

Le Danois a donné la victoire aux Capitals dans le match #5 de la série finale face aux Golden Knights, faisant de lui le premier de sa nationalité à graver son nom sur la Coupe Stanley.

Même si ça n’a pas marché à Montréal, on se doit de le féliciter. Bravo, Lars!

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