Lorsque le fils d’un joueur de hockey, qu’il ait évolué dans la Ligue nationale ou en Europe, perce dans la LNH, on attribue généralement une partie de son succès à l’apprentissage qu’il a reçu d’un père expérimenté.
En général, n’importe quel enfant apprend à jouer grâce à son père/oncle/frère.
Par contre, ce n’est pas le cas pour Lars Eller. L’ancien du Canadien a discuté de sa relation avec son père, Olaf, qui a connu une carrière professionnelle de 18 saisons au Danemark, représentant le pays à huit reprises au niveau international.
Même si l’on pourrait croire qu’il lui a tout appris, Eller confie que son père ne lui a jamais montré comment patiner, lancer au filet, manier la rondelle ainsi que les techniques sur la patinoire.
C’est plutôt l’esprit compétitif qu’il a infusé en lui.
Lars Eller: la rage de vaincre de papa https://t.co/jlkJ6pLw43 pic.twitter.com/aVDVhtb9fJ
— TVA Sports (@TVASports) June 9, 2018
La rage de vaincre qui a été l’un des facteurs les plus importants de sa saison record, il la tient de son père.
« Il m’a aidé à développer mon esprit compétitif. Le seul aspect de mon jeu sur lequel il émettait une opinion était mon niveau d’ardeur au travail. »
Travailler plus fort était le mot d’ordre. Pour le reste, Olaf ne s’en mêlait pas.
Une technique intéressante qui aura porté ses fruits, au final.
Le Danois a donné la victoire aux Capitals dans le match #5 de la série finale face aux Golden Knights, faisant de lui le premier de sa nationalité à graver son nom sur la Coupe Stanley.
Même si ça n’a pas marché à Montréal, on se doit de le féliciter. Bravo, Lars!