Bruno Gervais et François-Étienne Corbin règlent leurs comptes en ondes avec la régie

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Hier soir, le Rocket a gagné un gros match de hockey au compte de 5-1.

Ce sont les Islanders de Bridgeport, le club-école des Islanders, qui ont subi la lourde défaite aux mains du Rocket, qui devait absolument gagner le match pour espérer rester dans le portrait des séries le plus longtemps possible.

Les hommes de Jean-François Houle sont présentement à un point des séries.

Le match était notamment diffusé à RDS et pendant la rencontre (au deuxième entracte, à vrai dire), il y a eu un moment en ondes qui a laissé les auditeurs perplexes entre Bruno Gervais et François-Étienne Corbin.

Le voici, tel que partagé par un amateur du Canadien, Mondy.

En gros, on voit François-Étienne Corbin mentionner que le sujet de Brandon Gignac a tellement été discuté qu’il n’est plus original et que, par la force des choses, ça a été coupé de la liste des sujets à discuter.

Il a ensuite mentionné à Bruno Gervais qu’en régie, la décision de couper son segment Hockey 101 a été prise. Ce dernier a affirmé ne pas être fâché, mais bien extrêmement déçu du manque de jugement.

Il a aussi fixé la caméra et Corbin a par la suite ajouté «qu’on lui a dit que ce n’était pas terrible, mais qu’il allait se relever» de ça.

Notons que sur Twitter, quand la situation a été soulevée, Gervais a répondu la même chose qu’en ondes : je ne suis pas fâché, mais déçu. Il a ajouté que son collègue était toujours là pour brasser de la…

Il y a deux façons de voir les choses. On peut penser qu’il y a eu une chicane en ondes impliquant les gens devant la caméra et les gens en régie à la lumière des commentaires des gars.

Ou on peut aussi penser que c’était une blague. Et compte tenu du fait que les principaux intéressés réagissent de la sorte sur Twitter, je me demande où se trouve la vérité.

Si c’est une blague, c’est clairement un inside joke et ce n’est pas tout le monde qui est dans la blague. Donc au pire, c’est une chicane et au mieux, c’est simplement malaisant pour les auditeurs.

Mais si c’est vraiment deux gars qui ont réglé leurs comptes en ondes avec la régie et leurs patrons, disons qu’on a déjà vu plus professionnel.