Owen Beck et Filip Mesar vont très bien après un début de saison ordinaire

Quand la saison a commencé, Owen Beck et Filip Mesar ne roulaient pas à fond de train. Le premier avait de la difficulté à trouver ses repères dans la OHL et le second ne jouait pas vraiment à Laval.

Et quand il jouait, ce n’était pas que des minutes de qualité, disons-le ainsi.

Le cas de Beck était décevant. Après tout, même si l’échantillon était petit, il n’en demeure pas moins qu’après six matchs, son petit point (un but) n’avait rien de bien impressionnant.

Mais à ses quatre derniers matchs du côté de Peterborough, il s’est levé. Beck a obtenu sept points (cinq buts et deux passes), ce qui prouve qu’il a pris son erre d’aller.

À ses quatre derniers matchs, il a récolté trois buts, puis une passe, puis un but et une passe avant de marquer un but hier dans la victoire des siens (Petes) contre les Generals.

Et on va se le dire : son but d’hier, c’était une belle pièce de jeu.

Le cas de Filip Mesar est aussi intéressant puisque son retour dans la OHL était la meilleure chose qui pouvait lui arriver à mes yeux. Après tout, il n’a pas dominé l’an passé avec les Rangers dans la OHL puisqu’il a manqué de gaz en cours de route.

Mais là, en ce début d’année, il semble être énergisé.

Au lieu d’être dans le difficile environnement du Rocket de Laval, Mesar se retrouve maintenant avec une puissance de la OHL. En trois matchs, il a cinq points, dont deux buts.

Hier, il a connu son premier match de «seulement» un point dans la OHL. Il l’a fait en marquant un but dans un revers de 4-3 des Rangers contre Windsor.

Les deux équipes ont 18 points depuis le début de la saison (14 matchs pour les Rangers, 12 pour les Petes), ce qui les place à égalité, avec d’autres équipes, au deuxième rang du classement général.

Mississauga – avec 20 points – est au sommet.

Notons que l’an prochain, si tout va bien, les deux joueurs devraient jouer ensemble sous les couleurs du Rocket de Laval. Mais d’ici là, il y a une saison de junior, incluant le CMJ, à disputer.

Notons qu’ils vont mieux que Juraj Slafkovsky, repêché avant eux en 2022… mais qui joue dans la LNH depuis un an.

PLUS DE NOUVELLES