Dans les derniers jours, avec le tournoi des recrues à Buffalo, un nom qui ressort beaucoup de l’équipe d’espoirs du Canadien de Montréal est celui d’Owen Beck.
L’espoir du CH, repêché au 33e rang lors du plus récent repêchage, écarquille bien des yeux depuis le début de ce tournoi des recrues.
En effet, Beck se démarque vraiment dans ce tournoi, non seulement parce qu’il a marqué deux buts en deux matchs, mais également parce qu’il fait pratiquement tout bien sur la patinoire.
Bref, jusqu’à présent, le jeune Ontarien de 18 ans démontre qu’il a été une belle prise du CH au 33e rang.
Ce qu’il faut savoir maintenant, c’est que ce n’est pas la première fois que Beck entrait en contact avec la ville de Montréal lors de son repêchage.
En effet, depuis l’âge de 15 ans, Beck passe une partie de ses étés à Montréal afin de s’entraîner.
Si Owen Beck n’avait pas tout ce talent au hockey, il étudierait en médecine pour devenir anesthésiste. Il passe une partie de ses étés à Montréal depuis qu’il est âgé de 15 ans et il déploie des efforts pour parler la langue de Maurice Richard @RDSca https://t.co/ad9RWYWcDb
— Eric Leblanc (@eleblancRDS) September 18, 2022
Beck connaît donc très bien Montréal en plus de comprendre assez bien le français étant donné son parcours académique.
L’espoir du CH a expliqué également qu’il déployait beaucoup d’efforts afin d’être en mesure de s’exprimer convenablement en français.
Considérant à quel point il est doué académiquement, on peut se permettre de le croire.
Beck aurait étudié en médecine afin de devenir anesthésiste s’il n’avait pas été aussi doué au hockey.
De plus, ce n’est pas qu’au niveau académique que Beck est intelligent. En effet, son style de jeu sur la glace se décrit lui aussi par un très fort QI hockey.
Il est très intelligent sur la glace et effectue très souvent le bon jeu.
Pour l’entraîneur de Beck dans la OHL avec les Steelheads de Mississauga, la question qui se pose dans le cas de son protégé n’est pas à savoir s’il jouera dans la LNH, mais plutôt s’il sera un centre de deuxième ou troisième trio dans la LNH.
« Quand il sera dans la LNH, ce sera de voir s’il s’établira comme deuxième ou troisième centre, mais il ne sera pas plus bas que ça. Il ne sera pas le meneur du premier trio, il n’est pas du genre à tricher pour aller ajouter des points. » – James Richmond
Son entraîneur a également noté un élément surprenant : Beck est capable de frapper et jouer physique.
« Il fonce comme un bélier! Si tu ne le laisses pas te contourner, il va passer par-dessus toi. Il est vraiment agréable à regarder avec sa vitesse, la puissance des jambes et la qualité de son lancer. » – James Richmond
Pour en savoir plus, je vous relaisse juste ici le très bon article d’Éric Leblanc.