Lorsque Brian Burke se présente à la télé ou à la radio, avec sa grosse chevelure et sa cravate autour du cou, il attire l’attention. Son look décontracté et son langage coloré bien à lui font en sorte qu’on tend l’oreille sans se questionner. Récemment, il s’est entretenu sur les ondes de TSN 590, en direct du show Writers Bloc, afin de livrer son opinion sur différents sujets qui circulent actuellement, dont le coronavirus.
Lorsqu’il est question du «langage coloré» de Burke :
Brian Burke on Writers Bloc calls the people that are against players jumping the queue to get tested for coronavirus just to play hockey the "idiot fringe".
Sees getting a hub city in Canada as an economic boost.
— NHL Watcher (@NHL_Watcher) June 10, 2020
Burke s’est évidemment livré au sujet de la COVID-19 précisant que, selon lui, les médias, l’industrie du sport et les joueurs ont minimisé la pandémie dans laquelle ils sont économiquement installés en tant que sport professionnel. Au passage, il s’est moqué des quelques-uns qui croient que le plafond salarial restera sensiblement le même malgré le chapitre que nous sommes en train de traverser. Selon son expérience, le plafond actuel devrait diminuer tout de même considérablement.
Burke says he feels the media, sports industry and players have all downplayed the catastrophe they're in economically as pro sports. Laughs at those who suggest the cap will be flat for the next few years: "You think we're going to have $80M payrolls next year? Not a chance!"
— NHL Watcher (@NHL_Watcher) June 10, 2020
«Vous pensez que nous aurons 80 millions de dollars de plafond salarial l’année prochaine? Pas une chance!» – Burke
Brian Burke on Writers Bloc also believes the NHL will have 2 hub cities in the U.S., calls it "unfortunate".
— NHL Watcher (@NHL_Watcher) June 10, 2020
Plus je réfléchis et plus je me dis que d’obtenir des joutes au Canada sera plus ardu qu’on peut penser. Le gouvernement du Canada ne semble pas pressé d’accorder cette demande à la LNH, même si les deux clans semblent dialoguer ouvertement depuis quelque temps. Si le Canada tarde trop, la LNH pourrait soudainement se tourner vers deux villes des États-Unis, ce qui serait malheureux pour le Canada.