Mais où est/était Patrick Roy pendant que certaines formations de la LNH se cherchaient des entraîneurs-chefs?
Il se retrouvait avec Jacques Tanguay et Jean Bédard afin de mettre le grappin sur une équipe de hockey qui siège en France dans la région de Bordeaux.
Rappelons que le Roy Patrick a/aurait décliné deux propositions pour revenir derrière un banc de la Ligue nationale en raison de leur «positionnement» sur la map. Deux équipes de l’Ouest, où les fuseaux horaires ne cessent de changer, ça n’intéresse aucunement l’ancien numéro 33.
«Des informations émanant de Québec laissaient entendre que Patrick avait refusé deux offres afin de diriger à nouveau dans la LNH, essentiellement parce que les deux provenaient d’équipes de l’association de l’Ouest.» – JiC
Jean-Charles Lajoie est persuadé que le Roy est un actif potentiel pour la LNH, et qu’il serait certainement une valeur ajoutée aux Sénateurs d’Ottawa et ses partisans.
«Le vrai plan à Ottawa, c’est Patrick Roy» https://t.co/cLrAJBCCtU
— TVA Sports (@TVASports) January 18, 2024
Mais que font les Sénateurs d’Ottawa au moment de composer ces quelques lettres? Ils se fient sur Jacques Martin, 71 ans, et Daniel Alfredsson afin de chauffer les oreilles d’un groupe en pleine difficulté. Ce n’est absolument pas une solution à long terme pour cette organisation ontarienne nouvellement guidée par Michael Andlauer!
«T’as un nouvel édifice à bâtir, tu vas devoir le remplir, t’as un contingent de jeunes talents exceptionnels sur la glace, il te manque un candidat populaire, solide et compétent, un «stud» qui va prendre toute la chaleur, qui va tenir le haut de ton affiche tout en donnant de la noblesse à ton équipe sur la glace!» – JiC
Au final, Roy ne se retrouve fort probablement pas à Ottawa pour des raisons inconnues, mais, un jour, il reviendra au sein de la LNH comme entraîneur-chef ou directeur général. Lorsque ce jour arrivera, s’il arrive, la concession qui lui laissera une seconde chance sera assurément très choyée.