Patrick Roy n’a pas encore parlé aux Rangers pour le poste d’entraîneur

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En ce moment, plusieurs équipes n’ont toujours pas d’entraîneur-chef en vue de la prochaine saison. On parle des Ducks, des Flames, des Blue Jackets ainsi que des Rangers.

Est-ce qu’un club est susceptible de sortir un lapin de son chapeau comme les Predators cette semaine? Peut-être… #Toronto #Ottawa

Tout ça pour dire que si Patrick Roy veut revenir dans la LNH, ses meilleures options sont possiblement au sein de ces formations-là. Après tout, le timing semble être bon en ce moment.

On sait que son nom circule beaucoup à Columbus, mais est-ce que cela veut dire qu’il ne pourrait pas aller ailleurs? Est-ce que cela veut dire que les autres portes sont fermées?

S’il y a un club qui revient souvent chez les amateurs quand vient le temps de parler de Roy, c’est New York. Après tout, le Roy dans la Grosse Pomme avec un gros club, ce serait quelque chose.

Mais tout indique, en ce moment, que son ancien coéquipier Chris Drury, qui dirige le show à New York, n’a pas encore pris le téléphone pour contacter le pilote des Remparts de Québec. C’est ce qu’affirme Larry Brooks, en tout cas.

Évidemment, Patrick Roy est présentement à la Coupe Memorial avec ses Remparts. Il n’est donc pas à deux secondes de se trouver un emploi dans la LNH, on s’entend.

Mais il aurait quand même eu un téléphone des Jackets, qu’importe à quel point c’est informel.

Est-ce que cela veut dire que les Rangers ne veulent vraiment pas lui jaser? Est-ce qu’ils se laissent du temps pour y penser, comme leur processus semble relativement long pour embaucher un pilote? On ne sait pas exactement.

Rappelons que dans les derniers jours, le nom de Peter Laviolette circulait en masse à New York, mais rien n’est moins certain en ce moment. On peut penser que les Rangers ne sont pas si intéressés que ça, dans les faits.

J’aimerais le voir à New York puisque le recyclage d’entraîneurs, c’est parfois intense. Laviolette a été pilote à cinq reprises dans la LNH. À quel point veut-on le revoir une sixième fois au détriment de sang neuf?

Et Larry Brooks est aussi d’avis qu’un gars comme Roy, passionné et qui n’a peur de rien, est probablement ce qu’il manque aux Rangers. J’ai tendance à être assez d’accord.