Rangers : un entraîneur toujours sous contrat pourrait coiffer Patrick Roy

Les Rangers de New York sont l’une des cinq formations sans entraîneur-chef présentement. Les Flames, les Blue Jackets, les Capitals et les Ducks sont les quatre autres équipes.

Le dossier dans la Grosse Pomme fait évidemment plus de bruit en raison de la grosseur du marché. Plusieurs entraîneurs pourraient être des candidats logiques, mais Patrick Roy est un gars qui attire beaucoup l’attention.

Évidemment, Roy est un habitué des gros marchés et ce n’est pas la pression de la jungle new-yorkaise qui va lui faire peur. Jeff Marek se demande si Roy, qui connaît le DG, Chris Drury, pourrait s’amener avec les Blue Shirts.

Rappelons que Michel Bergeron et Yvon Pedneault voient bien Roy dans Times Square eux aussi.

Le choix serait donc logique, d’autant plus que Kevin Weekes semble y croire.

Présentement, l’ancien gardien du CH est le pilote des Remparts de Québec, qui sont en finale de la LHJMQ. Après son parcours, qui pourrait durer encore un petit moment (et qui pourrait être encore plus long s’il atteint la Coupe Memorial), il décidera s’il veut faire le saut dans la LNH (à la condition qu’une équipe veuille l’engager, évidemment), s’il veut rester dans le junior ou s’il préfère se retirer et passer le gros de son temps sur les terrains de golf.

Selon les informations d’Elliotte Friedman, cependant, la cible numéro un des Rangers est Mike Sullivan, l’actuel entraîneur-chef des Penguins de Pittsburgh. Friedman soutient toutefois qu’il n’est pas disponible (puisqu’il vient de prolonger son contrat, entre autres), mais il ne serait pas particulièrement surpris si Sullivan devenait le prochain pilote des Rangers.

Mike Babcock, l’ancien entraîneur des Leafs, pourrait également être un candidat de choix. Babcock a notamment coaché les Leafs et les Red Wings au cours de sa carrière, deux très gros marchés de hockey. Rappelons qu’il a été dans la course jusqu’à la toute fin pour le poste à Washington (un poste dont Peter Laviolette a finalement hérité) et il est passé très près de revenir à Detroit (avant que Derek Lalonde n’obtienne le poste) également.

Malgré les controverses, Roy est encore respecté et les équipes démontrent de l’intérêt.

Bref, le prochain pilote à New York aura un mandat assez intéressant, mais très strict : celui de gagner une Coupe Stanley.

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