Cette saison, Paul Byron n’a toujours pas joué une rencontre, lui qui a été opéré à une hanche avant le début du camp d’entraînement. Il pourrait prendre part au match de demain de son équipe contre les Blue Jackets de Columbus, toutefois.
En entrevue avec Arpon Basu, Byron a avoué qu’il ne s’est pas blessé en séries. Non, cette blessure perdure depuis quelques années déjà.
Paul Byron says he had been dealing with his hip injury for two years. Post-surgery and recovery, he says this is the best he’s felt in a long time. Returning tomorrow.
— Eric Engels (@EricEngels) January 29, 2022
En ce moment, il ne s’est jamais senti aussi mieux et il est prêt à aider son équipe à gagner des matchs. Non, il faut perdre!
Il était tellement en douleur à la fin de la saison 2021 que lorsque les séries ont commencé, le petit attaquant a dû se faire injecter des shots de cortisone dans le corps. Cela l’a visiblement aidé, lui qui a connu quelques bons moments, surtout contre les Leafs. Imaginez s’il n’avait pas eu de la cortisone avant la rencontre comment son but vainqueur lors du match numéro un aurait fait mal…
Imagine the Pain he would have had diving for that highlight goal against the Leafs pic.twitter.com/AYZmd0meaI
— Pete Gervais (@Habsfan1867) January 29, 2022
S’il a été un peu plus invisible contre les Jets et les Golden Knights, Byron a été l’un des joueurs les plus clutch du CH face à Toronto. En plus de son but vainqueur lors du premier match à Toronto, il a récolté la mention d’assistance principale sur le but vainqueur de Jesperi Kotkaniemi lors du match numéro six.
Plus que les séries avançaient, plus que l’adrénaline rentrait en jeu. C’est ce qui a permis à Byron de continuer à se battre chaque match au final. Oui, la cortisone a aidé, mais les effets ne duraient que deux-trois matchs.
Said the effect lasted two, three games. Then he gutted his way through the rest of the playoffs convincing himself each game could be his last in the NHL.
— Eric Engels (@EricEngels) January 29, 2022
Le gaucher a également avoué que parfois, lorsqu’il enlevait son équipement après un entraînement intensif ou un match difficile, il avait de la misère à se déplacer. Je l’aime beaucoup Byron et il manque au Canadien, surtout cette saison, mais il était temps qu’il se fasse opérer. Il est chanceux que cette blessure (qu’il a trainée pendant deux ans) ne s’est pas aggravé et qu’elle n’a pas mis en péril son après carrière.
Voici son entrevue en intégralité :
Here’s Paul Byron describing why he got hip surgery—and the pain he experienced leading up to it.
Questions from @ArponBasu: pic.twitter.com/7tKDa24UvG— Eric Engels (@EricEngels) January 29, 2022