Phillip Danault est «en paix» avec sa situation contractuelle

L’un des derniers dossiers à régler pour Marc Bergevin actuellement, c’est la situation contractuelle de Phillip Danault. Le Québécois sera agent libre au terme de la saison 2021 et il n’a toujours pas de nouveau contrat au moment d’écrire ces lignes.

Plus tôt aujourd’hui, le natif de Victoriaville s’adressait aux médias, et il a évidemment été questionné sur la question des négociations contractuelles. Si on se fie au principal intéressé, il est en paix avec sa situation actuelle et affirme que «ça fait partie de la business».

Au moins, il ne semble pas vouloir attirer les projecteurs sur lui pour les mauvaises raisons. C’est un très bon signe, étant donné que cette situation pourrait être dérangeante pour le CH.

Toutefois, l’attaquant souhaite se concentrer sur le hockey durant la prochaine campagne. Il affirme qu’il ne se mêlera pas des négociations qui pourraient s’ouvrir pendant la saison (puisque pour le moment, il est important de noter qu’il n’y a pas de négociations en cours) et laisse son agent gérer la situation. Il veut honorer son contrat avec la Sainte-Flanelle, et il veut le faire avec fierté.

Évidemment, Danault a été questionné sur d’autres sujets que son contrat. Il a d’ailleurs failli échapper un gros mot pour décrire le tir de Josh Anderson, avant de se corriger en riant.

Mais disons que ça donne hâte de voir l’attaquant de puissance en action!

Puis, en terminant son point de presse, il a été questionné sur la retraite de Corey Crawford, eux qui ont été coéquipiers à Chicago. Danault n’avait que de bons mots à l’égard de son ancien coéquipier, affirmant qu’il était un vrai leader et que le gardien l’a pris sous son aile dès son arrivée. Il a d’ailleurs ajouté une anecdote qui date de la première saison de Danault à Chicago, alors que Crawford avait pris le temps d’aller souper avec lui pour célébrer l’anniversaire du jeune centre.

Bref, plusieurs points intéressants de la part de Danault, mais on retiendra surtout qu’il semble avoir la tête au hockey plutôt qu’aux négociations contractuelles. Un bon signe, donc.

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