Ah Pierre-Luc Dubois… Que ferait-on sans les 1001 rumeurs qui le lient au Canadien chaque jour?
Voilà que la saison des Jets est terminée, on peut maintenant se demander quand le Québécois fera ses valises pour la maison. Parce qu’après tout, les chances qu’il vienne à Montréal sont très grandes, et ce, même si quelques équipes sont également intéressées par ses services.
Est-ce que Kent Hughes va attendre l’an prochain avant de lui faire signe ou il ne va pas perdre de temps et l’acquérir dès cet été? Ce sont les questions à mille piasses.
Est-ce que ses mauvaises séries vont freiner le DG du Canadien, toutefois? Une chose est sûre, Mathias Brunet est réticent à l’idée d’acquérir Dubois.
Les performances décevantes de Pierre-Luc Dubois en séries, rendent @mathiasbrunet plus réticent face à l’arrivée du Québécois avec le CH.
La situation lui rappelle même un peu celle de Jonathan Drouin.🔵⚪️🔴Sa chronique avec @MartinLemay : https://t.co/CMsgj5quHQ pic.twitter.com/S6qLhmNW0r
— BPM Sports (@BPMSportsRadio) April 28, 2023
Brunet compare même son dossier à celui de Jonathan Drouin, rien de moins.
Est-ce que les deux ailiers sont vraiment comparables, cependant? Drouin n’a jamais connu une saison en haut de 53 points et Dubois a déjà trois saisons de 60 points, lui. Il vient également de connaître sa meilleure campagne dans la LNH.
3/4 – Certains m’écrivent pour me dire que Dubois et Drouin sont deux cas identiques.
Pour l’amour du bon dieu, peut-on juste arrêter de comparer les athlètes sur la simple base de leur nationalité?
Slafkovsky n’est pas Kotkaniemi.
Dubois n’est pas Drouin.
— Anthony Martineau (@Antho_Martineau) April 28, 2023
Mais l’attaquant des Jets a connu des séries désastreuses et son désir de quitter le Manitoba s’est bel et bien fait sentir. Est-ce que sa (mauvaise) attitude serait bien accueillie dans le vestiaire? Peut-être. Après tout, il changerait certainement s’il venait jouer pour l’équipe de son enfance.
Bref. Toute cette situation met des drapeaux rouges aux yeux de Brunet. Et l’animateur, Martin Lemay, a réitéré ce qu’il répète depuis longtemps, lui : « il ne le veut pas à Montréal, le 80 ».
Les avis sont partagés, donc, dans la métropole.