L’an passé, on parlait beaucoup des difficultés des équipes canadiennes à aller chercher des joueurs via transaction. Pourquoi? Parce que plusieurs gars, qui ont des clauses de non-échange, ne veulent pas venir au Canada.
On parlait beaucoup de la pandémie comme raison.
Évidemment, la COVID-19 est moins présente dans nos vies qu’elle ne l’était par le passé, mais elle existe encore. Je ne sais pas si cela explique le fait que plusieurs joueurs sont encore réticents à l’idée de venir jouer ici (puisque des mesures sanitaires sont plus probables ici qu’aux États-Unis), mais c’est encore un fait.
Parce que oui, Elliotte Friedman a affirmé qu’il y a encore une certaine réticence à accepter de venir jouer au Canada chez plusieurs joueurs à travers la Ligue nationale ces temps-ci.
Friedman repeats on TJMS that it is harder for some Canadian teams to acquire players cause many who have NTC or partial NTC don't want to be moved to Canadian clubs, Friedman mentions Ottawa has come across this, it's an extra hurdle to deal with.
— NHL Watcher (@NHL_Watcher) November 14, 2022
Ottawa est notamment dans le lot. Avec l’incertitude au niveau des propriétaires du club, on peut comprendre.
On sait qu’il n’y a pas que la pandémie puisque la pression, les impôts, le froid et la langue (dans le cas du Canadien) sont tous des aspects qui peuvent faire peur à certains joueurs – surtout s’ils ne sont pas Canadiens à la base.
Avoir un entraîneur du genre peut faire en sorte que le pitch de vente est bien plus efficace.
Après tout, c’est bien plus que d’avoir un membre du Temple de la renommée derrière le banc, mais c’est surtout d’avoir un gars qui fait les choses comme les joueurs aiment.
Le temps qu’il passe avec les retranchés, par exemple, est remarqué. Chris Wideman, en tout cas, apprécie les discussions avec son entraîneur.
“The whole atmosphere of the Canadians and the vibe that is around them, and the way they play the game freely from Dach to Guhle to Xhekaj…MSL’s fingerprints are all over it.” – Eric Engels
— /r/Habs (@HabsOnReddit) November 14, 2022
Avoir une équipe gagnante et une culture gagnante aide grandement à attirer des agents libres. C’est vrai pour tout le monde, mais ce l’est encore plus pour les équipes canadiennes.
Iriez-vous à Toronto afin de vous faire reprocher de ne pas avoir passé la première ronde, vous?