Rachat : le nom de Pierre-Luc Dubois refuse de mourir

Vous savez comme moi que de racheter le contrat de Pierre-Luc Dubois au 1/3 de son salaire doit être une option pour les Kings.

Le DG de la formation a cependant affirmé haut et fort que ce ne sera pas le cas et que le personnel d’entraîneurs doit réussir à le faire fonctionner. Mais malgré tout, Frank Seravalli soulève la possibilité ce matin.

Dans un texte sur les possibles rachats de contrat dans la LNH, Seravalli a dit prendre les propos du DG avec un grain de sel (ce qui devrait toujours être le cas) et il place Dubois au premier rang de son classement des joueurs qui pourraient être rachetés.

À ses yeux, racheter le Québécois serait trop logique avant le 24 juin, soit quand il aura 26 ans. Après tout, à 25 ans et moins, le rachat se fait au 1/3 du contrat et non pas au 2/3, comme c’est le cas pour les joueurs plus vieux.

On va y revenir.

Ce que le journaliste dit, c’est qu’on ne répare pas une erreur en faisant une autre erreur. Il dit que les Kings doivent le racheter dès maintenant pour profiter de la fenêtre des 25 ans et moins et pour sauver un peu moins de 32 M$ en argent réel.

C’est un gros montant, quand même.

Voici donc la formule à suivre dans le cas d’un rachat potentiel de Dubois avec les Kings. On va en profiter pendant qu’on peut encore se fier sur CapFriendly pour vérifier ces trucs-là… #MerciAuxCapitals

La section Cap Hit à droite est le montant qui serait contre la masse salariale chaque saison de 2024 à 2038.

(Crédit: CapFriendly)

Comme on peut le voir, ce serait un long rachat. Ceci dit, le 1.1 M$ en 2037-2038, alors que le plafond sera sans doute au-dessus de 100 M$ dans la LNH, ne sera plus vraiment un gros facteur pour les Kings.

Mais pour que cela arrive, la finale de la Coupe Stanley ne doit pas se rendre en sept matchs. Après tout, la fenêtre de rachats va s’ouvrir 48 heures après la finale de la Coupe et pour être racheté au 1/3 du prix, Dubois doit avoir 25 ans. Il aura 26 ans le 24 juin.

(Crédit: NHL.com)

Il doit souhaiter une remontée des Oilers pour que la série s’étire… juste au cas.

Notons que Jesperi Kotkaniemi ou Brendan Gallagher, deux noms populaires dans le monde du hockey à Montréal pour les rachats, ne sont pas dans la liste de neuf noms de Seravalli.

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