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Rangers : un employé congédié pour avoir mangé avec un joueur du club

Ça va mal chez les Rangers. En fait, ça va vraiment mal.

Le club est en déroute complète et il représente vraiment l’affirmation suivante : dans une entreprise, le leadership part d’en haut. Donc quand c’est tout croche en haut, ça donne…

Ça donne les Rangers.

Chris Drury, le DG et président, ne gère pas bien son club. Et plus le temps passe, plus on se rend compte qu’il a des règlements ridicules qui minent l’esprit d’équipe à New York.

Exemple? Quand Alexis Lafrenière ne pouvait pas parler en français avec des journalistes. Ça donne la même vibe que les anciens du CH qui ne pouvaient pas facilement parler aux joueurs du CH, sous Marc Bergevin.

Mais voilà qu’une autre règle du genre fait fureur sur les réseaux sociaux en lien avec les Rangers.

Selon ce que le journaliste Vince Z. Mercogliano rapporte, un employé des relations publiques du club a perdu son emploi parce qu’il a – tenez-vous bien puisque je vais vous parler du crime de l’année – cassé la croûte avec un joueur.

En gros, la direction refuse que les membres de l’organisation passent inutilement du temps avec les joueurs ou les entraîneurs sans avoir le OK pour le faire. Ils font leur travail avec les joueurs… et c’est tout.

Ce n’est pas sain, comme climat. Pas besoin de vous faire un dessin là-dessus puisque quand ton boss contrôle avec qui tu peux parler ou pas dans la même entreprise, ça crée des frictions.

Le journaliste mentionne aussi que le congédiement de Jim Ramsay, qui travaille maintenant pour le Canadien, n’a pas aidé le climat au sein de l’équipe. Il était aimé par les joueurs, lui.

Ce n’est pas pour rien que les Rangers (et les Sabres) sont à surveiller sur le marché des transactions en ce moment.

En rafale

– J’aime ça.

– À noter.

– Logique.

– Ils sont encore là.

– Bienvenue dans la LNH.

– À noter.

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