Retour au hockey : Samuel Poulin encourage les gens à parler de santé mentale

Il y a quelques mois, Samuel Poulin a pris une pause de hockey pour prendre soin de lui. Il est retourné à la maison afin de prendre soin de sa santé mentale, ce qu’il avait besoin de faire.

Et voilà que ce matin, il a annoncé son retour au jeu dans la LAH.

Quand j’ai lu sa publication, un énorme sourire est venu s’installer dans mon visage. Le fait qu’il a pris du mieux est une excellente nouvelle pour l’organisation des Penguins, mais surtout pour lui.

On en discute beaucoup dernièrement avec les changements de mentalité, mais dans la vie, il arrive des moments où on ne se sent pas bien. Autant physiquement que mentalement. Et, c’est correct, de ne pas bien filer. Ça peut arriver à tout le monde. On dit souvent qu’il est important de garder la tête haute, mais des fois… C’est plus facile à dire qu’à faire.

On sait à quel point ces périodes sont difficiles et c’est exactement pour cette raison qu’il est important d’en parler afin de se vider le cœur. 

Tout le monde est passé par là dans sa vie et c’est pour ça que le message est facile à comprendre. L’espoir des Penguins encourage d’ailleurs les gens à parler de santé mentale dans sa mini lettre, ce qui est une belle pensée.

Ce qui est important, à la fin de la journée, c’est que Poulin soit heureux. Oui, c’est le fun de jouer au hockey et oui, ça doit être vraiment cool d’être payé pour le faire. Mais, il n’y a pas juste ça dans la vie non plus.

Et, ce n’est pas parce que le Québécois est un athlète qu’il n’a pas le droit de mal filer. Souvent, des commentaires font surface sur les réseaux sociaux et font référence au fait que « les gars font des millions de dollars » et que pour cette raison, ils devraient être en mesure de contrôler leurs émotions…

Mais, non. Ça ne marche pas comme ça, malheureusement. Et pourtant, ce n’est pas nécessairement difficile à comprendre non plus. Les gars sont humains, après tout…

Bref.

Bravo à Samuel pour le chemin qu’il a parcouru dans les derniers mois. Et encore bravo à Samuel, lui qui incite les gens à parler lorsque ça ne va pas.

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