Patrick Kane ne veut pas rester à Chicago. Jonathan Toews ne veut pas rester à Chicago. Pourquoi? Parce que les gars veulent gagner des matchs et viser une autre Coupe Stanley.
Et ça tombe bien puisque le club veut sûrement les échanger, question de se rapprocher de Connor Bedard.
Je pense que malgré une retenue salariale, Toews sera dur à passer. Il n’est plus le plus productif des hommes et je pense que la réalité du plafond salarial en 2022 dans la LNH joue contre lui.
Ceci dit, à la date limite, il y a parfois moyen d’être créatif.
Patrick Kane gagne lui aussi 10.5 M$ cette année et il sera aussi libre dans 10 mois, mais il roule plus que son capitaine. Je crois donc que les chances de le voir partir sont plus grandes.
Mais encore là, en raison de son salaire, je le vois commencer la saison à Chicago.
Ce que ça me dit, c’est que quand tu as la chance d’envisager l’ajout d’un joueur comme Patrick Kane, tu le fais. Il est tellement un bon marqueur que tu dois au moins jaser avec les Hawks.
C’est aussi ce que feraient les Blue Jackets.
Selon les informations de Nick Alberga, qui travaille pour Sportsnet, l’Américain serait en ce moment dans le viseur du club de Columbus pour la prochaine saison de la LNH.
lol, just had someone who's in the know text me & tell me that Columbus is a legitimate team to watch here.
Go figure.
— Nick Alberga (@thegoldenmuzzy) August 26, 2022
Est-ce que le natif de Buffalo pourrait se plaire dans une ville qu’on dit plate pour un an? Après tout, il ne faut pas oublier qu’il est en contrôle de sa destinée via sa clause de non-mouvement.
Ce qui surprend, c’est qu’en ce moment, les Blue Jackets n’ont pas une maudite cenne sous le plafond salarial. En fait, ils ont un peu plus de 400 000$ seulement, ce qui n’est pas assez pour le contrat de Kane.
Ça impliquerait de la magie, mais peut-être que de jouer avec Johnny Gaudreau pourrait l’inciter à accepter une potentielle transaction en Ohio…et peut-être que cela inciterait les Jackets à remuer mer et monde pour que la transaction soit réaliste.
Mais moi, je vais le croire quand je vais le voir.